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Hebdo N°26 - Vendredi 10 juillet 2020

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Actualités de la filière

Rubriques

Remaniement ministériel



Sortir de la crise et bâtir l’avenir : La Coopération Agricole appelle à la co-construction avec le nouveau gouvernement

A l’issue, ce matin, de la passation de pouvoir au ministère de l’Agriculture et de l’Alimentation, les coopératives agricoles tiennent à adresser toutes leurs félicitations à Monsieur Julien Denormandie pour sa nomination. L’ambition principale du nouveau ministre devra être d’assurer la sortie de crise, qui a durement impacté le monde agricole et agroalimentaire, tout en construisant l’avenir de nos filières.

Représentant 40% de l’agroalimentaire français et rassemblant 3 agriculteurs sur 4 sur l’ensemble des territoires, La Coopération Agricole appelle à des décisions stratégiques fortes au travers d’un plan de relance pour soutenir l’ensemble des filières et réaffirme l’importance fondamentale de travailler à bâtir la souveraineté alimentaire de notre pays. Les défis, auxquels nous devrons répondre, dans une collaboration étroite avec le nouveau gouvernement sont nombreux : assurer notre compétitivité à l’échelle européenne et internationale, réduire notre impact environnemental, nous adapter au changement climatique, favoriser le renouvellement des générations, offrir à nos concitoyens une alimentation durable, de qualité et accessible à tous.

Afin de répondre à l’ensemble de ces enjeux d’évolution du secteur, La Coopération Agricole a élaboré une plateforme de trente mesures d’avenir constituées d’actions concrètes qui visent : à assurer la souveraineté alimentaire française, restaurer la compétitivité des filières et accélérer l’engagement de la chaîne alimentaire dans les transitions agroécologiques.

« Engagé dans les transitions d’une manière générale, l’avenir de l’agriculture et de l’agroalimentaire français doit continuer de faire partie des priorités du nouveau gouvernement. La crise sanitaire qui a ébranlé notre pays, nous rappelle que nous devons, plus que jamais, continuer d’œuvrer à la compétitivité de la chaîne alimentaire pour assurer sa pérennité, celle de nos filières, des entreprises et de l’activité des agriculteurs sur tous les territoires. C’est dans cette optique que nous souhaitons travailler avec le ministère de l’Agriculture et de l’Alimentation. » souligne Dominique Chargé, président de La Coopération Agricole.

Remaniement ministériel



L’AGPB salue la nomination du ministre de l’Agriculture et de l’Alimentation

Julien Denormandie a été nommé ministre de l’Agriculture et de l’Alimentation. L’AGPB félicite le ministre pour sa prise de fonction qui intervient à un moment clé pour l’agriculture, qui connaît des difficultés sans précédent. L’AGPB demandera à le rencontrer très prochainement pour lui présenter sa stratégie qui vise à répondre au défi prioritaire de la compétitivité des céréaliers, tout en tenant compte des attentes sociétales.

Pour Éric Thirouin, Président de l’AGPB : « Dans la perspective de la réforme de la PAC et à l’heure où le niveau de rémunération des céréaliers n’a jamais été aussi bas, nous resterons attentifs à ce que le ministre prenne en considération les enjeux de la filière céréalière. Conscients des fortes attentes de la société, les céréaliers déjà largement engagés dans l’évolution de leurs pratiques agricoles, attendent que le ministre, dans un dialogue constructif avec la nouvelle ministre de la Transition écologique, Barbara Pompili, œuvre pour accompagner et soutenir notre filière de manière éclairée, dans un contexte apaisé ».

100 clients atteints



Oleo100, le biocarburant 100% colza français, a su convaincre les poids lourds du transport français

Depuis le début de l’année, Oleo100, la marque de B100 de Saipol, filiale du groupe Avril, a su affirmer sa position grandissante d’énergie alternative vertueuse dans le mix énergétique français. En passant le chiffre symbolique des 100 clients, regroupant le transport routier de marchandises et de personnes, les collectivités territoriales, les opérateurs de collecte de déchets, et même le transport fluvial, Oleo100 contribue à décarboner les flottes avec une énergie produite entièrement à partir de colza français.

Des objectifs ambitieux atteints, et de nouveaux à venir

« La signature de notre 100ème client avec le groupement France Benne marque un cap important dans le déploiement d’Oleo100, »  annonce Claire Duhamel, Directrice Oleo100.  

« Les poids lourds de nos clients parcourent déjà 100 000 km chaque jour avec Oleo100. L’objectif est de doubler la mise d’ici fin 2020 et atteindre 35 000 m3 contractualisés » précise-t-elle.

Après des événements marquants comme l’essai de l’énergie sur un automoteur fluvial de Sogestran, des tests avec Transdev et des accords constructeurs, Oleo100 ambitionne plus encore pour décrocher l’intégration du B100 dans la loi de transition énergétique et la certification de l’énergie en Crit’air 1.

Oleo100 : le carburant alternatif durable

La commercialisation du B100 à destination des flottes captives est autorisée par décret depuis fin 2018. Saipol, a pu développer un B100 garantissant une réduction de 60 % des émissions de CO2 et jusqu’à 80% des émissions de particules fines, tout en soutenant l’économie locale grâce à un colza d’origine française. La compatibilité immédiate avec les moteurs poids lourds sur les moteurs Euro 1 à 5, et sur homologation sur les Euro 6 est un avantage majeur d’Oleo100. Grâce à des cuves connectées, gracieusement mises à disposition par Oleo100 pour chacun de ses clients, les ravitaillements sont pris en charge et adaptés selon la consommation constatée. Rouler vert à moindre coûts devient possible. L’accompagnement des équipes commerciales, techniques et communication d’Oleo100 garantissent une rapidité et simplicité de mise en place de cette énergie de transition.

Une satisfaction constatée sur les premiers utilisateurs 

Les retours de la communauté de clients Oleo100 sont très positifs et permettent une projection d’autant plus prometteuse pour conquérir de nouveaux acteurs du transports. Ils n’hésitent d’ailleurs pas à le témoigner par eux même dans la presse : « [Oleo100] n'altère pas le rendement de nos véhicules de chantier. Et la consommation est sensiblement la même » atteste Stéphane Plourde, dirigeant de Plourde Terrassement tandis que Jean Yves Le Goff de Transports Le Goff se félicite « d’apporter une touche verte dans la collecte du verre »  Patrick Pihen, à la tête de Pihen Transports, témoigne aussi « Nous avons été le tout premier des clients du Groupe Avril à arborer fièrement les couleurs "d’Oleo100, notre énergie 100 % colza français" sur nos véhicules. Grâce à cette customisation, notre démarche en matière de durabilité sera visible sur toutes les routes de France ! ». En utilisant Oleo100, les acteurs du transports peuvent en effet faire rayonner leur démarche RSE et se démarquer dans les appels d’offres. Chaque client reçoit un certificat, estampillé Bureau Veritas, sur le pourcentage de réduction des émissions de gaz à effet de serre liée à la consommation d’Oleo100.

Moissons 2020



Le bureau de la FNSEA tire la sonnette d'alarme et appelle à intégrer l'agriculture dans le Plan de relance !

Les premières estimations des moissons 2020 sont alarmantes. Les remontées du terrain confirment les chiffres diffusés par Agreste, et traduisent une situation extrêmement préoccupante.
 
En blé tendre et en orge les pertes de rendement sont très importantes, de 20 à 30% selon les régions. La récolte de blé serait ainsi la 2ème plus faible en volumes depuis 2004, après celle de 2016 !
 
Les oléagineux présentent également de fortes baisses de volumes, pour la 3ème année consécutive, cumulées à une baisse très préoccupante des surfaces passant de 1,5 à 1,2 millions d'hectares en 1 an. Les impasses techniques pour la protection contre les ravageurs dissuadent en effet toujours plus les cultivateurs, et risquent de faire passer en-dessous du million d'hectares la sole en colza, mettant en péril les industries de transformations et l'approvisionnement en tourteaux de colza pour l'élevage.
 
En betteraves, les baisses de surfaces vont se cumuler à des rendements qui sont attendus en chute libre, de l'ordre de 40 à 50%, en raison notamment des attaques massives de pucerons incontrôlables faute de solutions phytosanitaires. C'est l'avenir de l'industrie sucrière qui est en jeu et la porte ouverte aux importations massives de sucre de pays européens qui eux ont dérogé à l'interdiction des néonicotinoïdes face à l'urgence sanitaire et au risque économique pour la filière.
 
A cela s'ajoute le contexte climatique : difficultés de semis de l'automne, hiver exceptionnellement pluvieux, sécheresse printanière…

Le Bureau de la FNSEA tire la sonnette d'alarme et alerte le Gouvernement !

Rappelons que vendredi dernier la Commission des comptes de l'agriculture mettait en évidence une baisse du résultat net de la Ferme France de près de 10% en 2019. La baisse de la valeur ajoutée brute s'observe dans 8 Régions sur 13, et le déficit commercial se creuse sur de nombreuses productions, jusqu'à moins trois milliards d'euros sur les fruits.
 
Face à cette situation qui aura des conséquences dramatiques pour le revenu des agriculteurs, la FNSEA appelle à une réaction urgente pour remettre l'agriculture française sur les rails de la croissance et de la compétitivité.
 
Le Plan de relance est une réelle opportunité pour s'engager dans cette voie. Le Gouvernement doit positionner l'agriculture et accompagner l'investissement, la recherche et l'innovation, par des moyens suffisants.
 
A défaut, ce sera la poursuite de l'affaiblissement de la souveraineté alimentaire française et une plus forte dépendance aux importations, alors que 9 français sur 10 expriment après le CoVid leur volonté d'une alimentation plus locale.
 
Il est temps de concrétiser la dynamique lancée par le gouvernement en 2019 avec le « Pacte productif » pour le plein emploi, le développement de l'industrie et de l'agriculture en France.
 
Alors que la crise du CoVid-19 a replacé l'enjeu de la souveraineté sur les besoins essentiels que sont la santé et l'alimentation, le Plan de relance économique ambitieux préparé par le gouvernement doit pleinement intégrer l'agriculture.

Remaniement ministériel



Nomination du ministre de l’Agriculture et de l’Alimentation

La FOP (Fédération des producteurs d’Oléagineux et de Protéagineux) salue la nomination de Monsieur Julien Denormandie en qualité de ministre de l’Agriculture et de l’Alimentation et lui adresse toutes ses plus sincères félicitations.

Alors que le Président de la République a fait de l’accroissement de la souveraineté en protéines un enjeu majeur de la politique agricole, économique et environnementale de la France et de l’Europe, le ministre de l’Agriculture et de l’Alimentation pourra compter sur la pleine mobilisation de la FOP pour continuer à travailler les voies et moyens nécessaires pour relever ce défi. Néanmoins, il appartient désormais au nouveau ministre de répondre aux attentes fortes par la mise en œuvre d’un ambitieux plan protéines qui devra se traduire par des actions concrètes sur le terrain.

Le Président de la FOP, Arnaud ROUSSEAU, a déclaré à cette occasion « je demanderai à rencontrer le nouveau ministre le plus rapidement possible car les attentes et défis sont nombreux pour la filière des huiles et protéines végétales. Je compte lui faire part de la situation paradoxale que nous vivons entre l’ambition d’un grand plan protéine et la remise en cause des facteurs de production qui fragilisent gravement la place des cultures oléoprotéagineuses dans les assolements. Au-delà, si nous sommes bien sûr disposés à nous investir réellement avec le ministre de l’Agriculture, nous attendons également de lui un vrai projet agricole ambitieux et pragmatique qui s’appuie sur une vision européenne, un budget et une PAC renforcés, un soutien fort à la recherche et à l’innovation, des mécanismes novateurs en faveur de la résilience des exploitations et un appui affirmé aux biocarburants qui contribuent directement à la souveraineté énergétique et alimentaire par la co-production de protéines ».

mutagenèse aléatoire in vitro



La Coopération Agricole dénonce le projet de décret français sur la mutagenèse in vitro

Le 6 mai dernier, la France a notifié à Bruxelles un projet de décret et deux projets d’arrêtés concernant la mutagenèse aléatoire in vitro. Le projet de décret confère le statut d'OGM aux plantes obtenues par mutagenèse aléatoire in vitro (consistant à soumettre des cellules végétales cultivées in vitro à des agents mutagènes chimiques ou physiques). Les arrêtés visent plus particulièrement les colzas Clearfield.

En créant sa propre définition des OGM, la proposition française porte atteinte à un domaine harmonisé par la législation européenne, ce qui pourrait avoir de graves répercussions sur le fonctionnement du marché unique dans l'UE et la libre circulation des produits.

En effet, les produits obtenus à partir de variétés issues de techniques de mutagenèse in vitro deviendraient, sur la base de ce décret, des OGM non autorisés par la législation française et interdits de production et de commercialisation sur le territoire français, sans être des OGM dans le reste de l'UE en vertu de la réglementation européenne. Ainsi, s'il était adopté, le décret français ferait obstacle au commerce intracommunautaire non seulement des semences mais aussi des produits qui en résultent (graines, huiles, tourteaux). En outre, les obstacles au commerce ne se limiteraient pas aux frontières de l'UE en créant des obstacles techniques non tarifaires au commerce des plantes ou des semences entrant sur le marché de l'UE, avec des risques de voir les pays exportateurs déclencher des procédures d'infraction auprès de l'OMC.

Enfin, dans un contexte où la Commission doit présenter, d'ici le 30 avril 2021, une étude concernant le statut des nouvelles techniques génomiques dans le droit de l'Union suivie de propositions d’évolution de la règlementation en vigueur, les projets de décrets et d'arrêtés français apparaissent prématurés.

La Coopération Agricole a fait valoir son analyse dans le cadre de la procédure européenne TRIS de consultation sur ces projets. Elle a invité la Commission à demander aux autorités françaises de revoir leur décret afin d'en assurer la conformité avec les règles du marché unique de l'UE et de l'OMC, et, au cas où la France ne répondrait pas aux demandes de la Commission d'engager une procédure formelle d'infraction contre la France.

Un bilan objectif de la crise



Les impacts économiques de la crise sanitaire sur l’activité des entreprises semencières

Afin de dresser un bilan objectif de la crise, l’UFS a mené une enquête auprès de ses adhérents, destinée à mesurer l’impact économique de l’épidémie sur les entreprises[1]. Basée sur la variation du Chiffres d’Affaires (CA), cette étude a également permis de flécher les surcoûts de fonctionnement liés à l’épidémie (approvisionnement, logistique, ressources humaines…).

Un impact sur le CA des entreprises travaillant les familles d’espèces de plantes potagères, florales et des gazons

Cette situation s’explique principalement par la fermeture des points de vente (jardinerie, rayons de libres services agricoles, arrêts de travail des professionnels de l’horticulture et du paysagisme).

Pour ces adhérents, le cumul des pertes dépasse les 9 millions d’euros. Les pertes de chiffres d’affaires atteignent en moyenne 8 % par rapport aux objectifs fixés, avec une variation s’étalant entre 3 % et 20 %. La réouverture des jardineries ou rayons dédiés aux plants dans les magasins 3 semaines après le début du confinement a permis à certaines entreprises de rattraper leurs pertes. De plus, les ventes sur Internet ont été bénéfiques à quelques-unes d’entre-elles.

Les autres familles d’espèces ont été relativement peu touchées, leurs activités s’étant majoritairement terminées avant le confinement. A noter malgré tout, des impacts pour les entreprises actives à l’export notamment pays-tiers (hors UE) où la fermeture des frontières a empêché certaines livraisons. Cet impact est notamment marqué pour les entreprises actives en oléagineux (tournesol et colza), qui ont vu leurs exports vers la Russie limités du fait des difficultés administratives rencontrées depuis plusieurs mois, mais renforcées par l’épidémie.

Les entreprises ont eu des surcoûts notables sur différents postes de charges

93% des entreprises ont eu des surcoûts liés à la protection de leurs salariés : achat de matériel de protection (masques, gels hydroalcooliques), achat de matériel informatique, adaptation, voire location de locaux et véhicules pour le respect des mesures barrières. Ces coûts supplémentaires peuvent représenter plus de 200 000 euros pour certaines entreprises.

43% des entreprises ont eu des surcoûts en ressources humaines (remplacement des arrêts de travail) avec la moitié des entreprises ayant dû faire appel à de la main d’œuvre exceptionnelle.

32% des répondants ont eu des surcoûts sur l’approvisionnement et la logistique correspondant à une augmentation de 1% à 25% du budget prévu.

Des impacts à plus long terme attendus par les entreprises

L’UFS a identifié des impacts possibles :

Sur la promotion de l’innovation tout d’abord, tous les essais variétaux nécessaires à la mesure du progrès apporté par les nouvelles variétés n’ayant pas pu se mettre en place.

Sur le recouvrement des factures et la baisse de contrats ensuite, du fait d’une baisse de la solvabilité de leurs clients agriculteurs, également durement touchés par la crise. Au delà de la trésorerie de l’année, cela pourrait conduire à un recours accru aux semences de fermes au détriment des semences certifiées.

Pour l’avenir, et notamment l’automne, les tendances de consommation alimentaires (viande, lait…) auront des impacts sur la trésorerie des agriculteurs qui devront prioriser leurs achats, y compris de semences.

Les attentes des entreprises pour faire face aux difficultés financières

L’enquête menée par l’UFS a été l’occasion pour les entreprises de lister leurs attentes sur les mesures qui pourraient être déployées par les pouvoirs publics pour les accompagner, parmi lesquelles :

  • Aide pour achat matériels de protection
  • Baisse voire annulation des charges salariales
  • Aide aux secteurs touchés (potagères, gazons…) pour soutenir leur relance
  • Aide au recrutement de saisonniers
  • Maintien du Crédit Impôt Recherche (CIR)

[1] 58% des adhérents de l’UFS ont répondu à cette enquête, représentant plus de 80% du cumul des chiffres d’affaires de l’ensemble des entreprises adhérentes.

Le site internet d’A.D.I.VALOR

fait peau neuve



Pratique et ludique, le site internet d’A.D.I.VALOR fait peau neuve pour améliorer le recyclage des déchets agricoles www.adivalor.fr

Grâce à la préparation et au tri à la source par les agriculteurs, sur leur exploitation, 20 types de déchets sont triés, collectés et valorisés séparément. C’est ce qui contribue à la performance de la collecte et du recyclage : 70 % des quantités mises en marché sont collectées. Pour faciliter cette préparation et ce tri, A.D.I.VALOR fait évoluer son site adivalor.fr, avec des informations pratiques et ludiques, accessibles en un clic !

Le nouveau site Internet d’A.D.I.VALOR facilite l’accès aux instructions de tri et aux informations de collecte grâce à :

  • Une version consultable à tout moment, qui s’adapte à tous les supports, smartphone, tablette
  • Une présentation plus dynamique et ludique des consignes de préparation des déchets, avec les vidéos «La minute recyclage». Parce que seuls les déchets «propres» seront recyclés!
    https://www.adivalor.fr/collectes/minute_recyclage.html