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Hebdo N°05 - Vendredi 03 Février 2017

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Actualités de la filière

Rubriques

Nomination Maïsadour

Philippe CARRÉ
nommé Directeur Général
du Groupe Coopératif Maïsadour

Le Conseil d’Administration a nommé Philippe CARRÉ au poste de Directeur Général du Groupe Coopératif Maïsadour à compter du 1er février 2017 pour remplacer Thierry ZURCHER.
Philippe CARRÉ occupait, depuis septembre 2015, les fonctions de Directeur Général Adjoint du Groupe Coopératif Maïsadour et Directeur Général de MVVH (filiale du Groupe spécialisée dans la gastronomie avec les marques Delpeyrat, Sarrade, Comtesse du Barry et Delmas). Philippe CARRÉ conservera ses fonctions au sein de MVVH.
Thierry ZURCHER exercera la fonction de Conseiller auprès du Président jusqu’au 31 mai 2017, avant de faire valoir ses droits à la retraite.
Le Conseil d’Administration remercie chaleureusement Thierry ZURCHER pour sa contribution durant ces trois dernières années.

Euronext

Suspension temporaire
de la cotation
des contrats colza
à partir des échéances août 2019 et suivantes

Le 31 janvier, Euronext a informé les membres de marché que les échéances août 2019 des contrats de futures et d’options de colza ne seraient pas ouvertes à la cotation, contrairement au calendrier habituel d’ouverture des échéances.
Cette suspension demeurera en vigueur en attendant la conclusion d’un examen des spécifications techniques de ces contrats qui est actuellement en cours. Cet examen vise à déterminer si des modifications des caractéristiques du contrat sont requises.
Euronext communiquera en temps voulu les détails des nouvelles dispositions relatives à la cotation de l’échéance Août 2019 des contrats futures et option de Colza.
Afin d’éviter tout doute, Euronext rappelle que toutes les spécifications contractuelles pour l’ensemble des échéances actuellement ouvertes à la cotation sont inchangées.

UFOP-FOP

   


Les producteurs d’oléagineux allemands et français demandent le maintien d’objectifs d’incorporation obligatoire des biocarburants de première génération dans la directive énergie renouvelable post 2020

A l’invitation de l’UFOP (association allemande de promotion des huiles et des protéines végétales), une délégation de représentants de la FOP (Fédération française des producteurs d’oléagineux et de protéagineux) emmenée par son vice-président Arnaud Rousseau et une délégation de l’UFOP emmenée par son Président Wolfgang Vogel se sont réunies le 25 janvier à Berlin. La FOP et l’UFOP sont les principaux représentants des secteurs des oléagineux et des protéagineux en France et en Allemagne.
La FOP et l’UFOP demandent le maintien d’objectifs obligatoires pour les biocarburants de première génération dans la directive énergie renouvelable pour la période 2020-2030. C’est une condition nécessaire pour donner des perspectives aux agriculteurs et aux producteurs de biocarburants ainsi qu’à l’atteinte des objectifs ambitieux d’utilisation d’énergies renouvelables annoncés pour 2030. Pour les deux organisations, le développement des énergies renouvelables ne doit pas compromettre celles qui sont actuellement produites à partir de colza qui fournissent également des protéines végétales et des aliments pour animaux, mais au contraire prendre en compte leurs bénéfices pour l’environnement et promouvoir un développement complémentaire des biocarburants avancés.
L’UFOP et la FOP ont concentré leurs échanges à l’occasion de cette rencontre à Berlin sur les dernières propositions de la Commission européenne en matière d’énergie. Dans son « paquet d’hiver », la Commission a proposé de réduire le plafond de biocarburants de première génération de 7% en 2020 à 3,8% en 2030 dans les carburants. De plus, la Commission a proposé l’introduction de mandats obligatoires d’incorporation de biocarburants avancés et a dans le même temps supprimé les objectifs d’incorporation spécifiques au transport. Les débouchés des producteurs d’oléagineux sont directement menacés par ces propositions. Sans objectifs d’incorporation pour les transports, les propositions de la Commission européenne peuvent conduire à la fin du secteur des biocarburants de première génération et conduiront à la chute du prix des graines ainsi qu’à un recul des surfaces consacrées aux oléagineux au niveau européen.
La FOP et l’UFOP contestent l’analyse de la Commission européenne et attirent l’attention sur les conséquences pour l’agriculture européenne. De fait, la réduction de la première génération conduira à dégrader un peu plus le déficit européen en protéines végétales et aura un impact sur la diversité des assolements. Pour la FOP et l’UFOP, l’ambition européenne en matière d’énergie renouvelable doit se traduire par un mandat obligatoire de 7% pour la première génération coproductrice de protéines végétales et d’aliments pour le bétail, un développement des biocarburants avancés en plus de la première génération et la fixation d’objectifs dans les transports. Les biocarburants avancés ne seront pas disponibles en masse avant plusieurs années, leur développement est au mieux en cours et leur rentabilité est loin d’être prouvée jusqu’à aujourd’hui. Aussi, la FOP et l’UFOP soulignent que la première génération, qui ne concurrence pas la production alimentaire en Europe, respecte déjà de hauts niveaux de durabilité, est déjà disponible et est nécessaire à l’atteinte d’objectifs ambitieux en matière d’utilisation d’énergies renouvelables, notamment dans les transports. La FOP et l’UFOP demandent un examen des résultats tels qu’ils seront atteints en 2025 quant au développement des biocarburants avancés.

Ecophyto


Ecophyto : continuer la mobilisation pour réduire l’utilisation des produits phytopharmaceutiques

Le comité d’orientation stratégique et de suivi du plan Ecophyto s’est tenu ce 30 janvier 2017 sous la présidence de Stéphane LE FOLL, Ministre de l’agriculture, de l’agroalimentaire et de la forêt, Porte-parole du Gouvernement et de Dominique POTIER, Député de Meurthe et Moselle, son coprésident. Il a été l’occasion de présenter les derniers résultats du plan.
Le NODU (nombre de doses unités), indicateur de suivi du plan, affiche, pour la première fois depuis sa mise en place en 2008, un léger recul montrant une baisse de 2,7 % des ventes de produits phytopharmaceutiques entre 2014 et 2015. Sa valeur moyenne triennale augmente néanmoins de 4,2 % entre les périodes 2012-2014 et 2013-2015.
Par ailleurs, le Ministre s’est félicité que les 2 000 fermes DEPHY (exploitations agricoles engagées dans une démarche volontaire de réduction de l’usage de pesticides) engagées dans le plan Ecophyto sur la période 2010-2015 montrent une nouvelle fois qu’il est possible de réduire l’utilisation des produits phytopharmaceutiques sans impact économique. En effet, ces exploitations, à compter de leur entrée dans le réseau, affichent une baisse moyenne de leur indice de fréquence de traitement de 18 % par rapport à la moyenne des années 2013-2015 et cela sans diminution de productivité ni de marge. En 2016, ce réseau a été élargi à 3 000 fermes.

Le plan Ecophyto enregistre d’autres progrès : Former 575 000 professionnels détiennent désormais le Certiphyto (certificat individuel à destination des utilisateurs de produits phytopharmaceutiques), dont 375 000 agriculteurs et salariés agricoles ; tous les lycées agricoles sont également engagés dans le plan.

CUMA France


DiNA Cuma : premiers dossiers déposés, premiers succès à conforter

Le dispositif national d’accompagnement des Cuma, intitulé DiNA Cuma, vient de terminer son premier semestre. Les résultats sont très encourageants, avec 630 dossiers déposés.

Le DiNA Cuma : deux axes d’accompagnement

Pour mémoire, ce dispositif, qui fait suite aux prêts bonifiés, se compose de deux aides à destination des CUMA :

  • une aide aux investissements immatériels dont l’objet est d’accompagner la réflexion stratégique des adhérents de Cuma sur les dimensions économiques, environnementales et sociales et la structuration des Cuma ; ceci peut se concrétiser par l’embauche d’un salarié, la création d’Intercuma ou de Cuma intégrale, la mise en place de démarches de groupe visant l’adoption de nouvelles pratiques (GIEE), etc.
  • une aide aux investissements matériels pour la construction de hangars et de bâtiments annexes.

Des régions dynamiques

L’enveloppe dédiée au DiNA Cuma est de 2,5 millions d’euros par an, avec un maximum de 1 500 euros par Cuma, subventionné à hauteur de 90% pour la partie Conseil et 20% du montant total pour la construction d’un hangar.
Après 6 mois de mise en place, les Cuma de certaines régions sont particulièrement demandeuses avec une utilisation quasi totale de l’enveloppe allouée : Nouvelle Aquitaine (100%), Ile-de France (100%), Occitanie (68%).
On compte par ailleurs une vingtaine de dossiers déposés pour la construction de hangars.

Une ambition à confirmer

Si on constate de fortes attentes du réseau Cuma, il existe cependant des freins dans les procédures administratives, en particulier sur le dispositif hangar ; en effet, la ligne spécifique hangar n’a pas été ouverte dans une majorité de régions. Ceci reste un enjeu pour 2017, tout comme le déploiement plus massif auprès des Cuma de la démarche de ce conseil stratégique
Pour Christophe PERRAUD, Secrétaire général de la FNCUMA, « le DiNA Cuma est un levier essentiel pour les Cuma. Dans le contexte actuel de mutation de l’agriculture, la réflexion stratégique est la fondation indispensable à la construction de solutions collectives toujours mieux structurées, pour fixer plus de valeur ajoutée sur les exploitations, et pour dynamiser le développement socio-économique des territoires. En s’appuyant sur cette première année de mise en place, le réseau des Cuma se mobilise déjà pour déployer le DiNA Cuma de manière encore plus intense en 2017.
Le fait que les Cuma se saisissent aussi massivement du dispositif démontre toute sa pertinence, mais également la nécessité du soutien à l’accompagnement des collectifs agricoles par les pouvoirs publics. »

A propos de la FNCUMA

La FNCUMA anime le réseau fédératif des Cuma de France, soit 11 260 coopératives d’Utilisation de Matériel Agricole (CUMA) qui regroupent des agriculteurs qui investissent ensemble dans du matériel pour utiliser ces équipements sur leurs exploitations. La FNCUMA mène des actions de terrain et des études participant ainsi à l’amélioration du fonctionnement des Cuma et à la dynamique locale. Elle apporte son expertise dans de nombreux domaines (agroéquipement, gestion de l’espace rural, emploi...) auprès des Ministères et travaille conjointement avec les organisations professionnelles agricoles.

Chiffres clés : 11 260 Cuma en France • 1 agricuteur sur deux est adhérents de Cuma en France • 398 millions d’euros d’investissement réalisés en 2013


Site web: www.fncuma.fr

Nomination FOP

Conseil d’administration de la FOP : Arnaud ROUSSEAU élu Président

Réunis à l’issue de l’Assemblée Générale qui a procédé, le 1er février, au renouvellement de son Conseil d’administration pour trois ans, les administrateurs de la FOP
(Fédération des producteurs d’oléagineux et de protéagineux) ont élu Arnaud ROUSSEAU à la présidence de leur organisation.
Il succède à Gérard TUBERY qui ne se représentait pas tout en souhaitant continuer son engagement dans Agropol, la structure de coopération internationale de la filière oléoprotéagineuse destinée à favoriser les partenariats et échanges entre producteurs du Nord et du Sud.
Arnaud ROUSSEAU, âgé de 43 ans, est installé en Seine et Marne sur une exploitation de 340 hectares sur la commune de Trocy en Multien. Il est producteur de colza, protéagineux, blé, betteraves et maïs. Très engagé à la FOP depuis son élection comme administrateur en 2005, il occupait jusqu’à ce jour le poste de Vice-Président en charge notamment de la PAC et des affaires européennes et internationales. Président du groupe de travail oléoprotéagineux du COPA/COGECA, il est aussi membre d’Avril Gestion et est enfin tout particulièrement investi au sein de son département où il préside la FDSEA et est Vice-Président de la Chambre d’agriculture.
Ce même jour, les administrateurs ont aussi élu le nouveau Bureau de la FOP. Il se compose de :

  • Vice-Présidents : Sébastien WINDSOR (Seine Maritime), Antoine HENRION (Moselle) et Alain RENOUX (Yonne)
  • Trésorier : Bertin GEORGE (Calvados)
  • Secrétaire : Benjamin LAMMERT (Haut Rhin)
  • Membres : Xavier BEULIN (Loiret), Guillaume CHARTIER (Oise), François CHAUVEAU (Deux Sèvres), Dominique DEFAY (Sarthe), Emmanuel LEVEUGLE (Nord), Didier MARTEAU (Aube), Jean-René MENIER (Morbihan), Fabrice MOULARD (Eure), Bernard de VERNEUIL (Indre).

Agritel


Les acteurs de la filière des grains ont affiché un consensus plutôt haussier pour l’année civile 2017

A l’occasion de la première conférence des grains à Paris, 150 acteurs internationaux de la filière agricole et agroalimentaire se sont réunis pour échanger autour des principaux drivers du marché des grains. Un nouvel indicateur de marché pour l’année civile 2017 a été établi : le Paris Grain Day Consensus.
Paris le 31 janvier 2017 – « La note de 3,56 obtenue sur une échelle allant de 1 à 5 (de très baissier à très haussier) constitue le nouvel indicateur de marché de la filière des grains » explique Pierre Begoc, directeur du Paris Grain Day qui poursuit « A l’issu de la journée de conférences, nous avons demandé aux décideurs de la filière de s’exprimer sur leur vision du marché des matières premières agricoles pour l’année civile 2017. Le Paris Grain Day Consensus affiche donc un marché plutôt haussier pour l’année  à venir » précise Pierre Begoc.
Rassemblant principalement des collecteurs, traders et industriels, la 1ère édition du Paris Grain Day a fait salle comble. Le 26 janvier au soir, les acteurs du marché se sont retrouvés pour un cocktail dinatoire, moment propice pour échanger et partager. Le lendemain, les 150 participants,  venus  de 15 pays, se sont réunis pour assister à des conférences interactives et innovantes.
Avec pour objectif de fédérer un véritable réseau collaboratif de compétences, tous les acteurs de la filière ont exprimé, pour chacun des 5 drivers   décryptés, leur sentiment de marché. A l’exception de l’impact des fondamentaux sur le marché des céréales, jugé quasiment neutre par l’assemblée (2,98), l’impact de la macro-économie, des fonds d’investissements et du weather market  ont été jugés plutôt haussiers (respectivement 3,28, 3,57 et 3,27). Enfin les fondamentaux du marché des oléagineux sont ressortis clairement haussiers avec une note de 3,79.
« Nous nous félicitions du succès de cette 1ère édition du Paris Grain Day qui a permis de rassembler plus de 150 décideurs dont 30 % d’internationaux. Cet évènement a répondu à notre ambition : redorer le blason parisien sur la scène internationale des matières premières agricoles » souligne Pierre Begoc, directeur du Paris Grain Day. Rendez-vous fin janvier 2018 pour la 2ème édition du Paris Grain Day.

AGPB


Frappés par un épisode climatique sans précédent, les céréaliers proposent leur vision de la gestion des risques

Après une moisson 2016 catastrophique, le Congrès des Céréaliers se déroulera les 8 et 9 février 2017 à Orléans, sur le thème : Libres d’entreprendre, des solutions innovantes. Ce sera l’occasion de travailler sur les propositions des céréaliers dans la perspective des échéances électorales 2017 et de l’ouverture des négociations sur la PAC 2020.
Paris, le 2 février 2017 - L’Association Générale des Producteurs de Blé et autres céréales (AGPB) présentera lors de son Congrès ses orientations stratégiques pour la gestion des risques climatiques et économiques. « Dans un contexte particulièrement difficile suite à la récolte 2016, nous devons recréer de la visibilité pour chaque céréalier français » déclare Philippe Pinta, Président de l’AGPB. C’est l’essence même du projet de l’AGPB et c’est une nécessité pour continuer à inventer, innover et à investir dans un environnement de plus en plus incertain.
Le projet qui sera présenté au Congrès des Céréaliers propose une stratégie de gestion des risques basée sur des outils individuels complémentaires, en cohérence avec les politiques agricoles française et européenne. « Nous ne souhaitons pas faire table rase du passé. Certains outils déjà existants sont à améliorer, d’autres sont à créer, et cela sans attendre la nouvelle PAC 2020 », détaille Philippe Pinta. Les propositions de l’AGPB reposent sur une stratégie de mise en place progressive, avec des mesures applicables dès 2017.
Le projet  tend à construire un système hiérarchisé d’assurance basé sur 4 outils majeurs: le maintien d’une aide directe conséquente et simplifiée, la constitution d’une épargne de précaution contra-cyclique individuelle, une assurance climatique efficace largement diffusée et soutenue financièrement par l’Union européenne et une assurance chiffre d’affaires à choix individuel avec un financement privé. Chaque céréalier doit pouvoir choisir les outils qui correspondent le mieux à sa situation. « La liberté d’entreprendre est un principe que nous défendons à l’AGPB, c’est le meilleur moyen pour avoir une agriculture compétitive et performante », précise Philippe Pinta.
Les 8 et 9 février prochains, les participants du Congrès des Céréaliers s’informeront et échangeront sur ces propositions qui seront ensuite présentées aux décideurs français et européens dès le premier semestre 2017.

FNSEA


Ecophyto II : il nous faut de vraies alternatives !

La FNSEA et son réseau sont mobilisés depuis de nombreuses années dans le cadre d’une réduction des usages et des impacts des produits phytosanitaires agricoles. Le plan Ecophyto II entre dans cette politique volontaire et donne d’ores et déjà des premiers résultats. La preuve que l’écologie incitative est plus efficace que l’écologie punitive !
Afin d’amplifier le mouvement, la FNSEA et les acteurs de terrain demandent que, dans le plan Ecophyto II, une partie conséquente des moyens soit investie dans la recherche et l’innovation. L’idée est bien d’avoir des solutions alternatives, applicables et prêtes à l’emploi pour les agriculteurs qui sont concernés.
De même, il est primordial de soutenir fortement l’innovation dans les exploitations et les équipements qui y contribuent. Les résultats n’en seront que meilleurs.

Passion Céréales


Salon International de l’Agriculture 2017
Moisson de pédagogie avec les céréales, au sein de l’Odyssée Végétale

À l’occasion du Salon International de l’Agriculture, qui se tiendra du 25 février au 5 mars 2017 à Paris-Porte de Versailles, Passion Céréales, collective d’information de la filière céréalière, réserve de belles surprises à ses visiteurs au sein de l’Odyssée Végétale (Pavillon 2.2).

Visite d’une ferme céréalière

Les producteurs de céréales accueilleront le public pour une visite guidée de la ferme de l’Odyssée Végétale, avec notamment :

  • la découverte des céréales : blé tendre, blé dur, orge, maïs, riz, aux côtés de l’ensemble des productions végétales françaises.
  • la présentation d’innovations permettant de s’adapter aux évolutions et accidents climatiques : irrigation de précision, robotique, etc.
  • et bien sûr l’incontournable montée à bord de la moissonneuse-batteuse !

NOUVEAU – La moisson comme si vous y étiez

Grâce à un casque à vision 360°, les visiteurs embarqueront, comme s’ils y étaient, pour une moisson de blé et une récolte de maïs aux côtés de deux agriculteurs céréaliers. Une expérience inédite et inoubliable, d’autant que chaque participant repartira avec une paire de lunettes (cardboard) pour revivre l’aventure chez lui.

NOUVEAU – Le fournil des céréales

Saviez-vous que la France exporte la moitié des céréales qu’elle produit ? Ces céréales françaises, envoyées aux quatre coins du monde, permettent de fabriquer différents pains. C’est l’occasion de les découvrir ! Pour cela, un fournil sera installé sur l’Odyssée Végétale en présence de boulangers formateurs de l’Institut National de la Boulangerie Pâtisserie (INBP). Des démonstrations quotidiennes de fabrication de pains français et étrangers à partir de farines issues de céréales françaises seront organisées. Une animation pédagogique permettra notamment aux enfants d’apprendre à faire du pain et de repartir avec.