S'abonner à l'hebdo

Hebdo N°08 - Vendredi 25 février 2022

Anciens numéros

S'abonner à l'hebdo

Pour vous abonner à l'hebdo des coops métiers du grain, dont la diffusion est réservée aux adhérents de Coop de France et à son réseau, merci de remplir et de valider le formulaire ci-dessous.

obligatoire




Valider

Déclaration CNIL
Coop de France met en place un traitement de données à caractère personnel dans le cadre de ses missions d'assistance et d'information aux coopératives adhérentes. Ces données sont collectées lors de votre adhésion, des missions de conseil que nous réalisons ou lorsque vous remplissez ce formulaire et sont destinées aux employés de Coop de France exclusivement. Elles sont par ailleurs contrôlées annuellement. Conformément à l'article 32 de la loi du 6 janvier 1978, vous disposez d'un droit d'accès, de rectification et de suppression des données vous concernant. Ce droit peut être exercé auprès de Nicolas Gremont, au service informatique à l'adresse suivante : nicolas.gremont@coopdefrance.coop.

Partager la page

Actualités de la filière

Rubriques

Gestion des risques climatiques

en agriculture



Une réforme ambitieuse pour laquelle les coopératives agricoles ont pleinement un rôle à jouer

Aujourd’hui, les sénateurs ont approuvé en séance publique les conclusions de la Commission mixte paritaire du 16 février dernier sur le projet de loi d'orientation relative à une meilleure diffusion de l'assurance récolte et portant réforme des outils de gestion des risques climatiques en agriculture. La Coopération Agricole salue l’adoption de ce texte important, qui offre notamment aux coopératives la possibilité de constituer une provision pour aléa climatique, au service de la résilience des exploitations des associés-coopérateurs.

La Coopération Agricole salue le travail du député Frédéric Descrozaille, porteur du rapport sur la réforme des outils de gestion des risques climatiques en agriculture, ainsi que le travail du sénateur Laurent Duplomb, co- rapporteur du projet de loi. L’objectif conjoint des deux chambres a été de voter un texte ambitieux mais pragmatique, au service des exploitations agricoles. La Coopération Agricole tient également à saluer l’évolution du texte en première lecture à l’Assemblée nationale, ayant permis l’adoption de deux amendements, l’un porté par Marie-Christine Verdier-Jouclas (LREM) et l’autre par Frédéric Descrozaille (LREM), qui permettent aux coopératives agricoles de se doter d'un nouvel outil de gestion des risques.

L’article 5 bis offre donc désormais la possibilité aux coopératives de constituer une provision comptable qu’elles pourront débloquer en cas d’aléa agricole ou climatique. Autrement dit, les coopératives pourront désormais réserver une part de leur marge opérationnelle les années favorables pour la redistribuer à leurs associés-coopérateurs lors d'années moins fructueuses afin de compenser les pertes et ainsi d’assurer la pérennité des exploitations.

Désormais, les travaux sur les ordonnances et les décrets doivent avancer rapidement pour disposer au plus vite des outils assurantiels nécessaires à notre souveraineté alimentaire : le travail collaboratif avec l’ensemble des parties prenantes sera déterminant pour y arriver !

« Face à la multiplication des aléas météorologiques (sécheresses répétées, gels tardifs, grêle...), ce texte, tant attendu, permettra de mieux couvrir les agriculteurs contre ces risques et contribuera à garantir la souveraineté alimentaire de la France. » déclare Dominique Chargé, président de La Coopération Agricole. « La possibilité pour les coopératives de constituer une provision pour aléa climatique permettra de renforcer le rôle essentiel qu’elles jouent dans la gestion des risques de leurs adhérents, au service de la pérennité des exploitations. » précise Dominique Chargé en complément.

Salon International

de l’Agriculture 2022



La Coopération Agricole dévoile un sondage réalisé avec l’IFOP sur les Français et la souveraineté alimentaire

A quelques jours de l’ouverture de la 58ème édition du Salon International de l’Agriculture et à deux mois de l’élection présidentielle, La Coopération Agricole dévoile les résultats d’un sondage d’opinion élaboré avec l’IFOP auprès d’un panel représentatif de citoyens au sujet de l’agriculture, de l’alimentation et plus particulièrement de la souveraineté alimentaire française.

Réalisé par l’IFOP auprès d’un panel représentatif de 1008 citoyens français entre le 20 et le 24 janvier 2022, ce sondage est construit autour de 16 questions évoquant le lien qui unit les Français à l’agriculture et à l’alimentation.

En voici les principaux résultats :

  • Prise en compte des questions agricoles et alimentaires dans la campagne présidentielle : Plus de ¾ des Français interrogés (78%) estiment que ces thématiques ne sont pas suffisamment prises en compte dans le programme des candidats à la prochaine élection présidentielle.
  • Inquiétude des Français au sujet de la sécurité alimentaire : Près de la moitié des Français interrogés (46%) se déclarent inquiets quant à la capacité de leur pays à subvenir aux besoins de leurs concitoyens à l’horizon 2050.
  • Principaux enjeux alimentaires perçus pour la France : Selon les Français interrogés, les trois premiers enjeux prioritaires pour lesquels il est primordial d’agir sont la favorisation d’une alimentation d’origine locale (39%), la relocalisation en France d’industries agroalimentaires (35%) et la lutte contre le gaspillage alimentaire (34%)
  • Financement de la transition écologique des modes de production alimentaire : Si 33% des Français interrogés indiquent que c’est à l’ensemble de la filière agroalimentaire de s’organiser pour financer la transition écologique, 27% indiquent que c’est aux pouvoirs publics de financer cette évolution, tandis que seuls 9% des Français interrogés pensent que c’est au consommateur de prendre en charge les surcoûts liés à ce changement de mode de production.
  • Attractivité et emploi dans l’agriculture et l’agroalimentaire : Plus d’un tiers des Français interrogés (38%) indiquent pouvoir envisager d’exercer un emploi dans la production agricole (culture ou élevage) ou bien dans l’industrie agroalimentaire.

« A quelques jours du Salon International de l’Agriculture et à deux mois de l’élection présidentielle, les résultats de ce sondage sont très éclairants. Les chiffres dévoilés confirment la grande préoccupation des Français à l’égard des enjeux agricoles et alimentaires. Ils nous confirment également qu’il est absolument nécessaire de travailler, en co-construction avec les pouvoirs publics et l’ensemble de la chaîne, à la restauration d’une souveraineté alimentaire par une croissance responsable. Les trois axes développés dans notre plateforme politique à l’occasion de l’élection présidentielle sont plus que jamais des réponses aux attentes des Français : en permettant de restaurer la compétitivité de nos filières, d’accélérer les transitions et de développer l’attractivité de notre secteur pour attirer les jeunes talents dans nos entreprises », déclare Dominique Chargé, président de La Coopération Agricole.

 

Entretien du semoir à maïs



8 points de contrôle pour bien préparer la saison

En culture de maïs, une graine donne une plante qui produit un épi. Si on prend l’exemple d’un semoir de 6 rangs d’une CUMA qui couvrirait 200 hectares ce printemps, le matériel devra parcourir l’équivalent de près de 420km linéaire et déposer le plus précisément possible environ 20 millions de graines. Voilà pourquoi il est si important de bien entretenir son semoir comme le décrit notre nouvelle vidéo

Pour le maïs, le semis est l’opération la plus importante de l’itinéraire technique. Pour une mise en terre précise de la semence, la distribution d’un engrais starter, ou d’un insecticide, il est capital d’avoir un semoir en bon état avant d’attaquer la saison. La vérification et l’entretien du semoir à la ferme passent par 8 points de contrôle obligatoires.

1. L’aspiration

  • Vérifier l’état général et la tension des courroies.
  • Contrôler minutieusement l’état des tuyaux reliant les différents éléments  semeurs à la turbine. Important pour les semoirs télescopiques ou repliables !
  • S’assurer que le déflecteur à poussière en sortie de turbine dirige le flux d’air vers le sol, à une hauteur comprise entre 20 et 30 cm.

A cette étape, on s’assurera aussi du bon état des protections de cardan.

2. Les boîtes de distance

  • Vérifier l’état et l’alignement des chaînes et des tendeurs.
  • Vérifier l’état des barres hexagonales et le fonctionnement des pignons utilisés en routine, en les faisant tourner à vide.
  • Sur les semoirs à entrainement électrique de la distribution, vérifier l’état des contacts et l’état de la batterie pour les systèmes avec génératrice.

3. Le châssis

  • Contrôler le jeu latéral des éléments semeurs, vérifier que les éléments sont à la bonne distance les uns des autres, et corriger cette distance si besoin.
  • Sur les semoirs télescopiques, contrôler l’état des galets et des butées.
  • Passer en revue le serrage des brides de fixation et des boulons.

4. La distribution

  • Nettoyer les disques et vérifier leur état. Numéroter chaque disque car il doit rester avec son élément semeur.
  • Nettoyer l’éjecteur et les joints d’étanchéité.
  • Vérifier l’état du sélecteur, ses dents ne doivent pas être usées pour ne positionner qu’une seule graine par trou sur le disque.
  • Vérifier le bon fonctionnement des trappes de vidange, l’état des ressorts et contrôler les tubes de descentes des graines.

5. L’enterrage

  • Vérifier l’état d’usure des roues de jauge, elles doivent être bien en contact avec les disques, vérifier le bon fonctionnement du balancier.
  • Evaluer l’usure des disques après démontage des roues de jauge. Les disques neufs ont un diamètre de 15 pouces, soit 381 mm, s’il est inférieur à 360 mm, il faut alors les changer.
  • Contrôler l’état d’usure du soc ou de la pointe sillonneuse située entre les doubles disques. Quand cette pièce qui forme le sillon est usée ou cassée, la qualité du semis est dégradée.
  • Lors du remontage des différentes pièces, s’assurer du bon réglage des décrotteurs de disques et de roue de jauge. Contrôler visuellement le bon alignement sillon/roue plombeuse/bloc tasseur.

6. Les fertiliseurs

  • Vérifier la distance entre le coutre du fertiliseur et la ligne de semis, elle doit être de 5cm. Contrôler cette distance en avançant le semoir de quelques mètres sur une surface dure.
  • D’autres éléments sont également à vérifier, comme l’état des tuyaux, absence de pincement ou de coude, ou la propreté des trémies recevant l’engrais.

7. Les micro-granulateurs

  • Vérifier la propreté des trémies des micro-granulateurs insecticide, ainsi que l’état des vis sans fin.
  • Contrôler l’étanchéité des tuyaux de descente et leur position sur l’élément semeur. Le type et la position des diffuseurs sur les éléments semeurs doivent être adaptés au produit insecticide utilisé.

Pour les fertiliseurs, comme les micro-granulateurs, il est possible de vérifier à poste fixe les réglages correspondants à la dose de produit qu’on souhaite appliquer. On récupère le produit distribué, engrais ou insecticide, en effectuant 25 tours de roues à la main. On pèse le produit récupéré. La dose par hectare est obtenue par un calcul simple (formule valable pour une circonférence de roue de 2.00 m, soit 50 mètres linéaires pour 25 tours).

Dose d’engrais ou d’insecticide (en kg/ha) :
= 0.2 x quantité (en gramme) récupérée sur 1 rang / écartement entre rangs (en mètre)

8. Les roues d’entraînement

  • Vérifier le montage, le sens des crampons, le bon fonctionnement du crabot et l’état des pneumatiques.
  • Contrôler leur pression de gonflage : un sous gonflage provoque une surdensité de semis et vice-versa. Une différence de pression de 0.1 bar entrainera un écart de 1 000 graines par hectare.

Avec un semoir en bon état, bien révisé avant le début de la campagne, il restera à vérifier les réglages au champ : densité et profondeur de semis, dose d’engrais ou de micro-granulés...

Accord interprofessionnel



La filière céréalière signe un nouvel accord interprofessionnel

Rassemblés lors de leur Assemblée Générale le 22 février, les trois collèges d’Intercéréales, l’interprofession céréalière, ont signé l’accord qui définira les actions de l’interprofession pour les trois prochaines années. Une ambition forte qui marque leur volonté partagée de positionner cette filière comme solution à de multiples enjeux : changement climatique, dynamisme des territoires et alimentation de qualité pour tous.

A l’occasion de leur Assemblée Générale, les trois collèges de l’interprofession, réunissant les producteurs, les collecteurs/exportateurs et la 1ère transformation des céréales, ont adopté à l’unanimité le nouvel accord interprofessionnel.

« C’est un moment charnière pour l’interprofession, issu d’un long travail de notre filière et qui porte une nouvelle ambition forte : devenir une source de solutions pour nos clients, les consommateurs et les citoyens », explique Jean-François Loiseau, Président d’Intercéréales, qui détaille « la capacité des céréales à capter le CO2 et à stocker le carbone dans les sols est une chance. Nous savons produire une alimentation de qualité et en quantité, nous allons désormais aussi lutter contre le changement climatique. Enfin, notre filière est une solution pour la vitalité de nos territoires grâce à 440 000 emplois et de nombreuses entreprises dans toutes les régions ».

Cet accord, permettra à Intercéréales, après l’extension par les pouvoirs publics, de remplir ses missions historiques en finançant ses actions de recherche et développement (notamment via son institut technique Arvalis – Institut du végétal), de création de valeurs pour la filière, d’études économiques et de prospective, de soutien au développement des filières, de communication et de promotion en France à l’international pendant les trois prochaines campagnes (du 1er juillet 2022 au 30 juin 2025).

A.D.I.VALOR fête ses 20 ans

au Salon International de l’Agriculture



Bilan, perspectives et ambitions de cet éco-organisme.

« Recycler, c’est dans ma nature » : l’exposition photos événement organisée au SIA pour les 20 ans d’A.D.I.VALOR

Depuis 20 ans, A.D.I.VALOR incarne et fait savoir l'engagement responsable des acteurs du recyclage des emballages et plastiques en agriculture.
L’éco-organisme a su unir les efforts et les savoir-faire d’entreprises aussi diverses que les industriels de la chimie et de la plasturgie, les coopératives et négociants agricoles, les entreprises de l’environnement, les usines de recyclage, les fabricants d’emballages.
Pour célébrer le succès de cette initiative volontaire créée il y a 20 ans, A.D.I.VALOR présente l’exposition photos « Recycler, c’est dans ma nature » au Salon International de l’Agriculture du 26 février au 06 mars 2022, Hall 4.

Pour Christophe Grison, son président : « Nous avons voulons rendre hommage à ces acteurs du quotidien avec cette exposition. Ce sont leurs métiers et leurs gestes, si utiles, mais souvent méconnus, que nous avons voulu mettre en lumière. »

Le photographe Didier Michalet a sillonné la France afin d’immortaliser les gestes de ces acteurs essentiels du recyclage des déchets agricoles. Une série de cubes grandeur nature dévoile plus de 30 portraits et explique les gestes clés, du tri à la collecte en passant par le recyclage, aux visiteurs du salon.

Des acteurs engagés depuis 20 ans, précurseurs de l’économie circulaire en France et en Europe

L’ensemble des acteurs de l'agrofourniture contribuent à la performance environnementale et à la compétitivité de l'agriculture française et sont acteurs précurseurs de l'économie circulaire en France et en Europe.

Depuis la création de la filière, les efforts constants de l’ensemble des acteurs de la chaîne, du tri au recyclage, permettent aujourd’hui de s’inscrire dans un schéma performant de collecte :

  • 22 types de déchets triés et collectés en flux séparés (contre 2 à 4 types de déchets en moyenne pour les consommateurs). Les déchets agricoles peuvent être valorisés en sacs poubelle, mobilier urbain, cagettes plastiques, gaines techniques...
  • 89 000 tonnes de plastiques collectées au niveau national en 2021 (+ 4 000 tonnes vs. 2020)
  • 90 % des emballages et plastiques agricoles collectés sont recyclés (28 % pour les emballages plastiques ménagers - source Rapport d’activité Citeo 2021)
  • Plus de 72 000 tonnes de CO2 évitées (= émissions de 32 000 véhicules sur 1 an)

Pour Pierre de Lépinau, directeur général d’A.D.I.VALOR : « La France est aujourd’hui le seul pays d’Europe à disposer d’une organisation aussi performante, dédiée à la gestion de la fin de vie de l’ensemble des déchets agricoles. Le savoir-faire de la France fait donc référence, tant au niveau européen que mondial. »

Atteindre collectivement le 100 % recyclé pour les emballages et plastiques agricoles

A.D.I.VALOR et ses actionnaires continuent à agir pour viser le 100 % recyclé d’ici à 2030. Pour cela :

  • Ils agissent sur l’ensemble du territoire pour que 100 % des déchets soient correctement triés et collectés. Ils sensibilisent au quotidien l’ensemble des maillons de la chaîne pour toutes les filières agricoles.
  • Ils soutiennent le développement du recyclage :
    - Appel à la création d’unités de recyclage. En 2022, deux nouvelles unités de recyclage voient le jour, spécifiquement dédiées au recyclage des plastiques agricoles : RecyOuest (Argentan) en juin et Healix (Maastricht – Pays-Bas) depuis janvier. La naissance d'une troisième unité́ de recyclage est imminente.
    - Appui pour une meilleure éco-conception des produits afin qu’ils soient plus facilement recyclables.
    - Incitation à augmenter l’incorporation de matières plastiques recyclées dans la composition des emballages et produits plastiques neufs.

Christophe Grison conclut : “Pour nous, professionnels de l’agriculture, recycler est dans notre nature. Nous agissons pour que La Ferme France reste un exemple en matière de gestion de ses déchets d’activité.”

Rendez-vous pendant toute la durée du Salon international de l’Agriculture du 26 février au 06 mars 2022, à l’entrée du Hall 4, pour découvrir l’exposition photos « Recycler, c’est dans ma nature » ! #RecyclerCestDansMaNature

Concours des Vins

de la Coopération 2022



Les Jeunes Vignerons Coopérateurs ambassadeurs du 36ème Concours des Vins de la Coopération Occitanie

Le Concours des vins de la Coopération Occitanie s’est tenu du 15 au 17 février 2022 à la cave Florès à Florensac
dans l’Hérault, avec le soutien des Jeunes Vignerons Coopérateurs.

Jeunes Vignerons Coopérateurs d’Occitanie -JVC - est un groupe d’échange et de formation à travers le partage d’expérience qui réunit plus de 120 vignerons nouvellement installés en cave coopérative. Chaque année, le groupe régional s’enrichit de nouveaux membres et part à la découverte d’une région viticole. Soucieux de promouvoir le métier de Vignerons Coopérateurs et la richesse de leur production, le groupe JVC a décidé en 2022 de participer à l’organisation du Concours de Vins de la Coopération.

Comme le souligne Guillaume RIBES, Président du groupe JVC et du Comité Territorial des Pyrénées-Orientales - Vignerons Coopérateurs Occitanie, il leur est apparu intéressant de voir les coulisses et de prendre la mesure  d’un tel évènement, afin d’en promouvoir l’organisation et les résultats auprès du plus grand nombre.
Ce Concours est un vrai outil de valorisation des cuvées auprès des acheteurs pour les caves qui obtiennent des médailles.

Fabien CASTELBOU, Président du Comité Territorial de l’Hérault - Vignerons Coopérateurs Occitanie, a rappelé l’intérêt des coopératives d’obtenir des médailles tôt dans la saison, notamment pour les vins blancs et rosés, afin de valoriser leur mise en marché en affichant rapidement ces récompenses sur les bouteilles. Il remercie les équipes de Vignerons Coopérateurs d’Occitanie d’avoir oeuvré pour répondre aux attentes des caves et à leurs besoins commerciaux en avançant la date du concours à mi-février.

Acteurs de la filière et amateurs de vins se sont retrouvés pour sélectionner les meilleures cuvées des coopératives de l’ensemble des territoires de la région, qu’elles soient en vrac ou conditionnées. Ces distinctions sont très appréciées des consommateurs et des acheteurs. 
La Section Vignerons Coopérateur de La Coopération Agricole d’Occitanie s’emploie à promouvoir un modèle riche de la diversité de ses vins, reflet de la qualité du travail et des valeurs mutualistes des vignerons coopérateurs et de leurs techniciens. Se confronter à l’avis d’un jury permet de réaffirmer l’excellence Coopérative. 
Sur 36 éditions, il s’agit de la 11e accueillie par la cave coopérative de Florensac, qui ne cache pas sa fierté.

L’occasion pour Marc CARDA, son Président, de rappeler le récent changement de cap de la coopérative. Avec le nouveau nom de « Florès », les vignerons de Florensac souhaitent marquer un tournant : la nouvelle génération d’artisans-vignerons s’engage pour mettre en avant l’étonnante qualité de ses vins de caractère et développer l’image d’une coopérative dynamique visant l’excellence.

Un nouveau projet à l’instar de ce concours qui valorise l’engagement sans relâche des femmes et des hommes qui travaillent chaque jour collectivement au profit de la qualité, des transitions et du développement économique.