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Actualités de la filière

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Pleins feux

sur le colloque Cap Protéines



Le 31 mai, environ 200 personnes se sont réunies à la Cité internationale universitaire de Paris pour découvrir les résultats de Cap Protéines, le programme de recherche, développement et innovation du Plan Protéines, co-piloté par Terres Inovia et l’Institut de l’élevage (Idele). Terres Univia a co-financé et œuvré tout au long des 2 années du programme.

Produire plus de protéines végétales pour réduire la dépendance aux importations : l’enjeu de Cap Protéines était ambitieux. Ce programme de recherche, développement, innovation et transfert du Plan Protéines, piloté par Terres Inovia et l’Institut de l’élevage et co-financé par Terres Univia, semble avoir relevé le défi, à en croire les observatoires, études, essais et expérimentations lancés pendant les deux dernières années et qui ont été présentés lors du colloque.

Trois questions à Laurent Rosso, directeur de Terres Univia

Quel bilan peut-on faire de l’implication de Terres Univia à Cap protéines ?

Ce fut un énorme travail et une mobilisation forte des équipes de Terres Univia, en complément de celles de Terres Inovia. Cap Protéines a permis d’ouvrir des chantiers d’innovation et de transfert à la dimension des territoires en rapprochant l’amont et l’aval. Il a contribué à resserrer les liens entre Terres Univia et les instituts techniques Terres Inovia et l’Institut de l’élevage. Il a aussi mis le doigt sur les progrès qui restent encore à faire.

Quelles ont été les exemples les plus emblématiques des travaux menés par l’Interprofession ?

La création d’Oriflaam (Observatoire des Ressources Incorporées dans les Flux de l’Alimentation Animale) a été menée dans ce cadre. Cet observatoire permet de connaître le flux des matières premières consommées par les différentes filières animales. Cet outil est la démonstration opérationnelle du rapprochement de l’Interprofession avec les autres interprofessions animales et végétales. Une autre réalisation marquante fut les travaux menés autour d’observatoires techniques, notamment OléoProtéines, l’observatoire du marché des protéines végétales à destination de l’alimentation humaine.

Quelles sont les perspectives pour prolonger ces efforts ?

Il reste six ans au Plan Protéines actuel. Pour poursuivre les efforts amorcés par Cap Protéines, il faut un engagement à long terme avec des partenaires de recherche et dimensionner ce qu’il faut faire sur le terrain. Il s’agira, à l’instar des engagements des organisations professionnelles au travers des plans CVO successifs, d’obtenir des pouvoirs publics un engagement autour de cette échelle de temps sur le cofinancement du Plan Protéines. Cela permettra notamment de maintenir un effort constant pour renforcer les capacités de production et ainsi faciliter les volontés de développement des filières légumineuses dans les différentes régions françaises.

Lors de cet évènement, Terres Univia a présenté les résultats des travaux auxquels elle a participé ces 2 années :

  • L’observatoire OléoProtéines en alimentation humaine présente des données marchés de différents secteurs (production, GMS, restauration collective…)
  • Pour mieux comprendre les filières françaises, l’Interprofession a mené des diagnostics sur le soja, le pois, le tournesol et le pois chiche.  
  • Sur le soja, Terres Univia a réalisé une étude pour analyser les leviers, freins et perspectives du développement de la filière en France au travers de 70 entretiens avec des opérateurs économiques. Également, Cap Protéines a permis de lancer une étude de faisabilité sur une filière de soja bio à La Réunion pour réduire sa dépendance aux importations.
  • Block chain : l’objectif du projet Numagri, réalisé en partenariat avec la société AgDataHub, est de collecter et diffuser des données sur les produits à base de soja, que ce soit pour l’alimentation animale ou humaine, pour valoriser son origine France.
  • Pour trouver des leviers pour améliorer la compétitivité du pois, l’Interprofession a mené une étude sur la production et les échanges de pois dans le monde.
  • Afin de mieux connaître la rentabilité des légumineuses par espèce, un observatoire des prix payés aux producteurs a été mené auprès des organismes stockeurs.  
  • Terres Univia a aussi présenté son application web "Flux de matières premières destinées à l'alimentation animale" bientôt opérationnelle : Oriflaam. Objectif : mieux connaître les flux des matières premières incorporés dans les rations animales.  
  • L’Interprofession a également présenté son dispositif d’accompagnement des initiatives territoriales pour renforcer la dynamique collective.

Terres Univia mobilisé lors d’une table-ronde sur la consommation des légumineuses en alimentation humaine

La journée a également été rythmée par quatre tables-rondes, dressant un large panorama des innovations autour des protéines végétales. L’une d’elles a traité de la consommation de légumineuses en alimentation humaine, avec la participation d’Elodie Tormo, chargée de mission en alimentation, nutrition et santé de Terres Univia.

L’experte de Terres Univia a rappelé les nombreux atouts des légumineuses : riches en protéines, en fibres, sources de minéraux et vitamines, et pauvres en graisses saturées. Un des leviers pour augmenter leur consommation ? Les utiliser dans des produits faciles à consommer à domicile car 56% des ventes en volume des alternatives végétales en GMS contiennent des légumineuses. Alors comment stimuler l’offre et la consommation de légumineuses ? « Il faut explorer toutes les catégories de produits via l’innovation, optimiser les procédés de transformation ou encore développer les produits prêts à consommer », a conclu Elodie Tormo.

Cap Protéines, une dynamique à poursuivre 

La réussite de Cap Protéines a été saluée par les pouvoirs publics. Benoît Bonaimé, directeur général de l’enseignement et de la recherche au sein du Ministère de l’agriculture et de la Souveraineté alimentaire, était présent, affirmant que « la stratégie des protéines végétales est importante car elle fait consensus. Nous sommes sur un chemin pionnier qui peut ouvrir la voie.»

Or, Cap Protéines a représenté une belle amorce. « C’est un point marquant et essentiel de ce colloque : la complémentarité des filières animales et végétales est indispensable à l’atteinte des objectifs du Plan Protéines lancé par les pouvoirs publics dans le cadre du Plan France Relance, fixés par le Président de la République lors du G7 à Biarritz en 2019, conclut Arnaud Rousseau, président de la FNSEA et du groupe Avril. Si nous pouvons aujourd’hui faire un point d’étape sur un programme qui engage l’agriculture sur 10 ans et afficher des résultats et des avancées significatives pour l’autonomie protéïque de la France, c’est grâce à l’implication conjointe et coordonnée des filières animales et végétales. La dynamique est engagée, elle a démontré toute sa pertinence et sa puissance dans le cadre du programme de recherche, développement et innovation Cap Protéines ».

Et la suite ? « Cap Protéines est une première étape qui a posé les lignes directrices d’une véritable feuille de route en recherche, développement et innovation. Les pouvoirs publics doivent maintenant être au rendez-vous, à la hauteur de l’implication des filières et des acteurs du monde agricole. Concrètement, il faut donner une suite à Cap Protéines, sans quoi nous perdrons tout le bénéfice de ces deux années de travaux intensifs », appelle de ses vœux Arnaud Rousseau.

Compte-rendu de l'intégralité du colloque, replay de la journée et recueil sur le site de Terres Inovia

PLASTICLEAN




Inauguration de la 1ère unité de recyclage française pour les films plastiques maraîchers

PLASTICLEAN, filiale du groupe CALVET, inaugure la première unité de recyclage française de films agricoles utilisés en cultures maraîchères, ce 1er juin 2023 à Vendargues (Hérault). Avec une capacité de plus de 10 000 tonnes par an, la nouvelle unité est désormais en mesure de recycler l’intégralité de ces films utilisés en France. 

Cette usine s’inscrit dans un programme de création d’unités de recyclage lancé par A.D.I.VALOR, éco-organisme de la filière agricole.

Un procédé unique, une matière plastique secondaire de haute qualité

PLASTICLEAN a mis au point un procédé industriel innovant qui assure un nettoyage intensif et efficient des films de maraîchage les plus souillés, en vue de leur recyclage. La ligne comprend une étape de broyage, de lavage et de séchage, puis de conditionnement des flocons en balle filmée.

PLASTICLEAN produit des plastiques recyclés à base de PEBD1, qui se présentent sous forme de flocons, conditionnés en balles houssées. 

Christophe Calvet, président de PLASTICLEAN : « Nous proposons une matière plastique particulièrement pure, compte tenu de l’efficacité du procédé et de l’homogénéité des films agricoles réceptionnés, composés exclusivement de films polyéthylène basse densité. Nous devrions atteindre une production de 3 500 tonnes de matières plastiques secondaires d’ici à la fin de l’année. » 

Fruit de 3 ans de recherches et d’un investissement de 4,3 millions d’euros, PLASTICLEAN est aujourd’hui en capacité de traiter l’ensemble des plastiques agricoles de la filière maraîchage. Le recyclage de ces plastiques usagés réduit ainsi l’utilisation de matière vierge et les impacts sur l’environnement. 

En visant une moindre consommation de ressources, PLASTICLEAN se positionne comme un nouvel acteur de l’économie circulaire en Occitanie, avec la création de 10 emplois au démarrage.

Recycler 100 % des films plastiques maraîchers en France

Cette usine s’inscrit dans un programme ambitieux mené par A.D.I.VALOR et ses actionnaires, notamment le Comité des Plastiques Agricoles, pour créer en France 4 unités de recyclage d’emballages et plastiques agricoles en 2022 et 2023. L’objectif est d’augmenter et de relocaliser les capacités de recyclage sur le territoire national. 

C’est le cas de l’usine PLASTICLEAN, située à un endroit stratégique, au carrefour des deux principales zones maraîchères du Sud de la France.

Stéphane Guesney, responsable du pôle Logistique et Recyclage chez A.D.I.VALOR : « La localisation de cette nouvelle unité, au plus proche des gisements, répond à notre souci de réduire les impacts environnementaux et économiques des transports. Nous prévoyons des plateformes de transit de stockage pour les lots collectés dans les zones de production plus lointaines ; nous pourrons ainsi sécuriser l’approvisionnement de l’usine toute l’année. »

Ronan Vanot, directeur général d’A.D.I.VALOR : « Lors de leur enlèvement au champ, ces films présentent un taux de souillure en moyenne de 66 %. PLASTICLEAN représente ainsi un véritable défi technologique car ces films ne pouvaient être recyclés jusqu’à présent. La filière française de gestion des déchets de l’agrofourniture est bien en marche vers le 100 % collecté et le 100 % recyclé. »

REMISE DES PRIX

COOP COM 2023



Les Coop Com 2023 ont été remis mercredi 7 juin lors d’une cérémonie qui s’est tenue au Loft des Ecluses à Paris. Une initiative de La Coopération Agricole et de CB News pour mettre en lumière les initiatives les plus créatives, les plus innovantes, les plus pertinentes menées par les coopératives agricoles et agroalimentaires face aux nombreux enjeux auxquelles elles sont confrontées.

Voici son palmarès

LE FONCIER : RESSOURCE

STRATEGIQUE, PILIER DE LA STABILITE



L’actualité se charge de nous rappeler que ce que nous prenons pour acquis ne l’est malheureusement pas. La stabilité aux portes de l’Europe. Un climat qui nous permet une production agricole régulière. La sécurité : contre les incendies, contre le recul du trait de côte, contre la sécheresse ou les inondations. De l’énergie pour tous à des prix abordables.

Face à ces incertitudes, nous devons plus que jamais sécuriser ce qui est important : notre alimentation, notre territoire, notre résilience.

Or en 2022, près de 20 000 hectares ont encore été vendus pour être artificialisés. C’est trop. Encore. Toujours. Et en plus de ces surfaces consommées pour le logement, les activités, les infrastructures, des surfaces significatives sont aussi retirées à l’agriculture, à la forêt, aux espaces naturels pour devenir des jardins d’agrément ou des terrains de loisirs.

La crise économique touche également l’agriculture. Directement, par le coût de l’énergie, des intrants, les difficultés d’approvisionnement. Indirectement par les contraintes que subissent les consommateurs, qui voient leur budget alimentation diminuer mais aussi par leurs choix. On mange moins de viande, on boit moins de vin. Les prairies sont retournées, les vignes arrachées. Le paysage change. S’y ajoute la crise climatique et certaines filières sont touchées de plein fouet par la sécheresse ou le gel.

Le foncier est une ressource stratégique. Il ne doit pas être la victime collatérale de cette conjoncture chaotique. Il ne doit pas être gaspillé par l’envie de disposer d’espace d’agrément. Les enjeux à long terme et l’impact sur nos territoires sont trop importants pour cela. Economisons-le, installons des agriculteurs, pour préserver notre avenir et notre souveraineté.

Au quotidien, les Safer continuent de s’appuyer sur des outils innovants (fonds de portage) et les nouvelles réglementations (ZAN, loi Sempastous) pour accompagner les filières stratégiques et préserver, au travers de nouveaux modèles d’aménagement, la diversité des territoires.

Emmanuel Hyest, Président de la Fédération Nationale des Safer

VIVALDI GROUP




Unigrains Italia consolide le secteur de la distribution d’ingrédients et de produits semi-finis auprès des boulangers-pâtissiers avec la création de VIVALDI GROUP

Constitué par l'union de quatre entreprises familiales, VIVALDI GROUP devient l’un des premiers distributeurs d'ingrédients et de produits semi-finis pour les pâtisseries, boulangeries et glaciers artisanaux en Italie

Milan (MI), le 7 juin 2023 – Les actionnaires de CPC Food Srl, Eurodolce Srl, Marper Srl, Nuova-Neue Serpan Srl, appuyés par Unigrains Italia, la filiale italienne du premier investisseur agroalimentaire européen, Unigrains, constituent VIVALDI GROUP, un nouveau leader italien dans la distribution d'ingrédients et de produits semi-finis pour les boulangeries, pâtisseries, glaciers ainsi que pour les canaux HoReCa, Retail et Cafétéria.

Dans un secteur dynamique et fragmenté, constitué d’un grand nombre d’opérateurs de petite taille, VIVALDI GROUP est une plateforme de consolidation qui dispose d’une taille critique pour répondre à l’ensemble des besoins des boulangeries, pâtisseries et glaciers italiens.

VIVALDI GROUP est composé de 4 entreprises familiales géographiquement complémentaires :

  • CPC Food, dirigée par Luciano Volpi, couvre l'Émilie-Romagne et en particulier Bologne, Ferrare, Ravenne et Forlì-Cesena
  • Eurodolce, dirigée par les familles Raris et Forte, couvre la Vénétie et une partie du Frioul-Vénétie Julienne et en particulier Trévise, Belluno, Venise et Pordenone
  • Marper, dirigée par Matteo Marastoni et Eliano Peretti, couvre la Vénétie et la Lombardie, en particulier Vérone et Brescia
  • Nuova-Neue Serpan, dirigée par les familles Brentari, Endrizzi et Albasini, couvre le Trentin-Haut-Adige et en particulier Trente et Bolzano

VIVALDI GROUP emploie 83 personnes, dont une équipe de vente de 39 professionnels répartis dans 12 provinces. Il bénéficie d'un important réseau logistique comprenant une flotte de 41 véhicules et de nombreuses installations de stockage pour un total de plus de 7 000 m2 dont 3 000 m2 de stockages réfrigérés.

Les dirigeants des 4 sociétés réinvestissent significativement dans l’opération et seront pleinement impliqués dans le projet de croissance et de développement de VIVALDI GROUP. Cet ensemble réalise un chiffre d'affaires cumulé de plus de 40 millions d'euros.

VIVALDI GROUP bénéficie du soutien financier et stratégique d'Unigrains Italia, filiale du premier investisseur agroalimentaire européen, Unigrains. Unigrains Italia est un investisseur sectoriel responsable et à long terme dans le capital d'entreprises agroalimentaires italiennes de taille moyenne. Son ambition sur 5 ans est d'investir entre 80 et 100 M€, en direct et en fonds propres, dans une dizaine d'entreprises de la chaîne de valeur agroalimentaire italienne afin d'accompagner leurs projets de développement par croissance organique/externe, internationalisation ou transitions actionnariales, en collaboration avec les équipes dirigeantes.

illimity Bank S.p.A est intervenu dans le cadre de cette transaction en tant que prêteur unique à travers sa division Crédit Croissance, le pôle d’activité de la banque dédié aux entreprises.

Luciano Volpi, Membre du Conseil d'Administration de VIVALDI GROUP et Directeur Général de CPC Food, déclare : « Cette opération représente une étape importante à la fois pour CPC Food et pour la croissance de l'ensemble du secteur. Ce nouveau Groupe sera en mesure de réaliser des investissements significatifs, d'attirer de nouveaux talents et de garantir une excellente qualité des produits. »

Armando Raris, Membre du Conseil d'Administration de VIVALDI GROUP et Directeur Général d'Eurodolce, déclare : « Cette transaction sera l’occasion pour notre société d'entamer une nouvelle phase de croissance grâce à une expansion géographique, une plus grande innovation-produit et une offre adaptée et flexible pour répondre au mieux aux besoins de nos clients. »

Matteo Marastoni, Membre du Conseil d'Administration de VIVALDI GROUP et Directeur Général de Marper, déclare : « Cette opération est historique pour nos 4 entreprises : le parcours réalisé ensemble pour constituer ce Groupe nous conduit à devenir l'un des principaux opérateurs de notre secteur et renforce notre stratégie de croissance ainsi que notre proximité avec nos clients et fournisseurs. »

Silvano Brentari, Membre du Conseil d'Administration de VIVALDI GROUP et Directeur Général de Nuova-Neue Serpan, déclare : « Aujourd'hui, nous franchissons une étape ambitieuse avec l'aide d'un partenaire financier spécialisé dans le secteur agroalimentaire qui nous soutiendra dans notre croissance tant organique qu’externe ».

Francesco Orazi, Directeur Général d'Unigrains Italia, déclare : « Nous suivons depuis longtemps le secteur de la distribution d’ingrédients pour les métiers de bouche, détectant un fort potentiel de consolidation pouvant bénéficier tant aux clients qu'aux fournisseurs. La création de VIVALDI GROUP représente une opportunité unique d'investir et d'accompagner quatre PME performantes aux zones géographiques, gammes de produits et positionnements complémentaires, et de les aider à développer des synergies commerciales, de distribution et d'approvisionnement. C'est un parfait exemple de la philosophie d'Unigrains Italia, et nous sommes ravis qu'il s'agisse du premier investissement de notre nouveau véhicule d'investissement. »