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Vie des entreprises

Asperges



Arterris dresse un premier bilan de sa récolte et dévoile ses objectifs

Alors que la saison des asperges a débuté timidement il y a environ un mois, l’OP légumes de la coopérative d’agriculteurs Arterris, qui produit majoritairement des asperges vertes, dresse un premier bilan de la récolte de ses producteurs. Bien que plus tardive que l’année précédente, c’est finalement un bilan équivalent à 2022 que dévoile la coopérative pour cette culture, pourtant affectée cette année par des conditions climatiques instables qui ont engendré un retard dans la mise en marché. L’asperge est une production de plus en plus plébiscitée par les agriculteurs et notamment les céréaliers pour diversifier leurs productions, comme en témoigne Laurent Forest, producteur en Haute-Garonne.

Dans le contexte du plan France 2030 présenté par le gouvernement pour soutenir les filières fruits et légumes, Arterris dévoile par ailleurs ses projets pour renforcer cette culture.

Un début de saison en dent de scie

Cette année la récolte de l’asperge a débuté aux alentours de la mi-mars, plus tardivement qu’en 2022 où la saison avait été plus précoce du fait de fortes chaleurs humides au printemps. Actuellement la production peine à se stabiliser à cause de conditions climatiques très inconstantes, alternant entre des périodes de chaleur en journée puis de nuits très fraîches. Des conditions qui ne permettent pas de faire ressortir tout le potentiel de l’asperge, qui a besoin de températures stables et d’un minimum de 12 degrés au niveau du plateau en sol pour favoriser sa pousse.

Outre ces conditions météorologiques qui n’ont pas favorisé la production sur le territoire d’Arterris, le retard de mise en marché s’explique également par un référencement tardif dans les enseignes de distribution et un produit globalement peu présent dans les rayons.

Pour autant, à date, l'OP légumes d'Arterris, qui vise les 215 tonnes d’asperges sur la saison 2023 (à la fin mai), a réalisé 35% de son prévisionnel avec une majorité d’asperges vertes. Les volumes de production sont donc équivalents à ceux de 2022.

Des perspectives prometteuses

Dans le cadre du plan France 2030, l’OP légumes d’Arterris mise sur l’activation de plusieurs leviers pour renforcer la production d’asperges. L’enjeu principal est de parfaire la maîtrise de la conduite de l’asperge verte afin d’optimiser sa qualité, tout en visant une production plus précoce pour échelonner la disponibilité des asperges sur le marché. Arterris souhaite également accompagner les agriculteurs dans la mécanisation de leur culture, en investissant dans des machines aidant au paillage et à la récolte. Pour l’instant, seuls quelques producteurs profitent de ces équipements.

En outre, Arterris a l'intention de poursuivre le développement de l’OP asperges en accompagnant de nouveaux producteurs dans cette culture de diversification. En moins de deux ans, quinze hectares supplémentaires d’asperges ont déjà vu le jour. La coopérative projette d'atteindre une production de 400 tonnes dans les années à venir, certifiées Globalgap et HVE.

Témoignage de Laurent Forest, producteur d’asperges à Montgiscard (31)

Depuis plusieurs années, Laurent Forest, producteur à Montgiscard (Haute-Garonne), cultive différentes variétés de céréales (blé, blé dur, orge, tournesol, sorgho) sur près de 350 hectares avec son père. En 2022 la culture de l’asperge de plein champ est venue diversifier ses activités :

« On a le sentiment aujourd’hui que le devenir du céréalier traditionnel est menacé, entre les différentes contraintes environnementales et règlementaires et les difficultés de production liées aux ravageurs. Si la crise liée à la guerre en Ukraine a redonné de la valeur aux céréales françaises, c’était un phénomène momentané. J’ai donc choisi de travailler aussi l’asperge en complément des céréales, car elle ne nécessite pas de gros investissements, bien qu’il faille prévoir beaucoup de main-d’œuvre, et elle s’intercale au printemps quand l’activité céréalière est plus calme », explique Laurent Forest.

Le producteur se partage une parcelle de cinq hectares avec son voisin Jean-Pierre Récoché, également novice sur cette culture. Après avoir clôturé mi-avril la saison 2022, les deux hommes préparent actuellement déjà la prochaine saison en plantant 2 hectares et demi supplémentaires.

L’OP légumes d’Arterris, une filière intégrée

L'OP légumes de la coopérative Arterris regroupe une dizaine de producteurs d’asperges. Ces producteurs travaillent en étroite collaboration avec l'OP, qui les accompagne tout au long du processus, de la récolte du produit à sa commercialisation, en passant par le lavage et le calibrage des asperges. L'OP a fait le choix de produire essentiellement de l’asperge verte, car elle répond à une forte demande du marché. Bien que plus difficile à cultiver, cette variété est plus adaptée à la nature des sols et au climat des bassins de production d'Arterris, qui se situent dans l'Aude, la Haute-Garonne et l'Hérault.

Du côté des agriculteurs, la culture de l'asperge offre des avantages non négligeables. Sa récolte s'effectue après la période de taille des vignes et avant les moissons, permettant de générer des revenus pendant les périodes creuses. Ainsi, la culture de l'asperge s'intègre facilement sur les exploitations céréalières comme activité complémentaire.

Site internet : www.arterris.fr

neuero

Premier chargement d’orge

avec le portique Neuero



Chargement réussi pour le nouveau portique Neuero, très attendu sur le site de Nord Céréales !

Un premier chargement d’orge, d’un total de 66 000 tonnes, a été effectué avec le nouveau portique Neuero, sur le navire “panamax” Vita Future en destination de la Chine, le mardi 25 avril 2023. “Le portique Neuero devait être fourni en juillet 2022 mais avec le conflit en Ukraine, la hausse des prix de l’acier, le covid, etc. sa mise en place avait été retardée. Son utilisation est désormais bien effective.” se réjouit Joel Vatel, Directeur général de Nord Céréales. 

La Chine tire toujours les exportations de céréales, notamment en orge. Sur le site Nord Céréales, elle représente ainsi 37 % des chargements effectués. “Depuis juillet 2022, ce sont près de 650 000 tonnes de céréales qui sont déjà parties à l’export vers cette destination (et bientôt 100 000 tonnes de plus), sur un total de 2,30 millions de tonnes.” 

Situé sur Port de Dunkerque, à une heure de la route maritime la plus fréquentée du monde, Nord Céréales prouve encore avec ce nouveau chargement qu’il offre toutes les installations pour accueillir les plus grands navires. 

Site internet : https://nordcereales.fr

Résultats 2022



Terrena atteint ses objectifs et poursuit son développement dans un environnement toujours très perturbé

Au cours d’un exercice 2022 marqué par de nombreux vents contraires (grippe aviaire, aléas climatiques, inflation...), Terrena a maintenu sa trajectoire et a atteint ses objectifs financiers. Ces résultats permettent à la coopérative de reverser 4,2 millions d’euros à ses adhérents pour accompagner le développement de leurs exploitations.

Chiffres clés de l’exercice 2022

  • Progression du chiffre d’affaires groupe à 5,4 milliards d’euros (+ 397 M€)
  • Bonne résistance de l’EBITDA groupe à 135 millions d’euros (- 2 M€)
  • RÈsultat net du groupe à 16,8 millions d’euros (+4,3 M€)
  • Poursuite d’une politique d’investissement volontariste à 126 millions d’euros(+16 M€)

L’année 2022 a été marquée par une conjoncture défavorable : grippe aviaire, aléas climatiques, inflation des co ̊ts des matières premières et des énergies. Dans cet environnement, la performance globale du groupe, mesurée par l’EBITDA, a résisté à 135 millions d’euros, un niveau comparable à celui de 2021. Les baisses de ventes de volailles liées à l’épisode de grippe aviaire ont été compensées entre autres par les bons résultats de l’activité céréales.

Le chiffre d’affaires consolidé du groupe enregistre une progression de +8 % pour s’établir à 5,4 milliards d’euros. Le chiffre d’affaires de la coopérative progresse à 2,11 milliards d’euros (+289 M€). Cette progression est tirée par un effet prix favorable sur les activités d’agrofournitures et de collecte.

Le résultat net du groupe s’établit à 16,8 millions d’euros, en progression de +4 millions d’euros par rapport à l’exercice précédent grâce à l’amélioration de la performance opÈrationnelle. Le résultat net de la coopérative s’élève à 9,7 millions d’euros, en hausse de +7,9 millions d’euros par rapport à l’exercice 2021.

De bonnes performances qui bénéficient aux coopérateurs

Ce résultat net positif permet à la coopérative de reverser 4,2 millions d’euros à ses adhérents sous forme de ristournes d’assemblée générale ou encore d'intérêts aux parts. Cet engagement très fort aux cotés des adhérents confirme la normalisation des résultats de Terrena. Il traduit la détermination de la coopérative à contribuer au revenu des coopérateurs et au développement de chacun de leur projet.

La poursuite d’une politique d’investissement volontariste

Le rythme des investissements a continué de progresser pour atteindre 126 millions d’euros, ce qui représente une augmentation de +15% par rapport à 2021. Parmi ce montant, 28,4 millions d’euros ont été investis dans les activités agricoles. Cette approche volontariste a permis notamment de moderniser des sites de collecte et de stockage de céréales et de poursuivre la transformation du réseau de distribution agricole avec le déploiement progressif du nouveau concept dans les magasins.

En septembre 2022, le nouvel abattoir de volailles d’Ancenis (44) a été mis en service. D’un investissement de 43 millions d’euros, ce nouveau site a été structuré autour de l’amélioration de la compétitivité industrielle et intègre les meilleures exigences en matière de protection animale. Il apporte une visibilité sur le long terme à 600 exploitations familiales situées autour du bassin d’Ancenis. En investissant dans la compétitivité, Terrena pérennise ainsi la production et le dÈveloppement de ses activités volailles issues de filières différenciées (Bio, Label Rouge, La Nouvelle Agriculture®). Elles représentent aujourd’hui plus de 30 % des ventes de Galliance, le pôle volaille de la coopérative.

Terrena récolte les fruits de ses initiatives en matière de performance extra financière

Terrena a également poursuivi le déploiement de Terrena 2030. Terrena mesure le suivi de ce projet lancé en 2020 au travers d’une trentaine d’indicateurs de performance extra-financière parmi lesquels :

• Le chiffre d’affaires de la marque La Nouvelle Agriculture® en GMS : 59 millions d’euros

Le chiffre d’affaires à marque La Nouvelle Agriculture® est stable par rapport à l’année dernière (+0,5%), malgré un fort impact de la grippe aviaire sur la filière volaille (-5 M€). Cette perte est compensée par la progression des autres gammes de produits, notamment les œufs plein-air et bio dont le chiffre d’affaires a été multiplié par 1,5 en 1 an (+4 M€). Depuis 2020, le chiffre d’affaires à marque La Nouvelle Agriculture® a progressé de +16%. L’objectif est une multiplication par trois de ce chiffre d’affaires en 2030.

• La part des essais en parcelles consacrées à la résilience climatique : 60 %

Depuis plusieurs années, la multiplication des aléas climatiques dans le grand Ouest impacte fortement les productions végétales et les élevages. Tout l’enjeu pour Terrena est d’accompagner les adhérents en identifiant des leviers de résilience et en développant des solutions pour construire leur stratégie d’adaptation au changement climatique. Pour y parvenir, Terrena consacre déjà plus de 150 essais en parcelles soit 60% de ses essais consacrés à la résilience climatique (+10 points par rapport à l’objectif fixé).

Perspectives 2023

En 2023, Terrena entend concentrer ses efforts pour maintenir la dynamique de développement agricole sur son territoire. Pour certaines productions, près d’un départ à la retraite sur deux n’est pas remplacé et conduit à une érosion progressive du potentiel de production.

La coopérative annoncera au cours de son assemblée gÈnÈrale le 15 juin prochain des initiatives fortes pour faciliter et sécuriser l’installation de jeunes agriculteurs et le développement de nouveaux ateliers pour ceux déjà installés.

Terrena maintiendra également une enveloppe d’investissements sur son territoire de 125 millions d’euros pour 2023. L’objectif sera de poursuivre la modernisation du réseau de distribution et la digitalisation de l’amont agricole.

Olivier Chaillou, agriculteur et président de Terrena

" Nous avons continué à accompagner nos coopérateurs et à investir dans leur intérÍt. La coopérative a de nouveau joué son rôle de levier pour valoriser leur production et défendre leur revenu. Nous serons toujours au rendez-vous de leurs attentes. Face à la restructuration des exploitations et à la baisse de certaines productions, nous allons renforcer notre engagement pour contribuer à la pérennité de l’agriculture sur notre territoire, maintenir et développer le potentiel de production et contribuer ainsi à répondre à l’enjeu de souveraineté alimentaire."

Alain Le Floch, directeur général de Terrena

" Nos résultats financiers sont à l’attendu pour la 4e année consécutive. Cette performance démontre que Terrena se consolide dans un environnement encore très fluctuant et incertain. Nous restons concentrés sur nos objectifs de développement, de satisfaction des adhérents et de pilotage de la performance. C’est pourquoi, nous resterons attentifs à des projets qui structurent l’accès à des marchés rémunérateurs et en développement pour les adhérents, à l’image de notre engagement dans la filière œufs. "

Site internet : www.terrena.fr

maroc

MAÏSADOUR Maroc

20 ans de savoir-faire



Créée en 2002, la filiale Maïsadour Maroc produit près de 14 200 tonnes de fruits et de légumes chaque année, et exporte plus de 30 millions d’épis de maïs. Elle prend en charge la chaîne de production du semis jusqu’à la récolte, et assure également le conditionnement et l’export de fruits et de légumes.

Maïsadour Maroc en quelques chiffres

  • 20 ans d’expertise
  • 40 producteurs agréés
  • 200 salariés permanents, près de 600 en haute saison
  • 1er producteur de maïs doux au Maroc
  • 13 ans dans l’expertise du radicchio

Maïs doux

Grâce à son expertise, à sa proximité avec les différents producteurs locaux et à son accompagnement adapté, Maïsadour Maroc s’est imposé comme le leader de la production de maïs doux au sud du Maroc. De la production au conditionnement en passant par la récolte, le process est encadré jusqu’à la fin par les équipes de Maïsadour Maroc.

Autres cultures

En supplément du maïs doux, Maïsadour Maroc a diversifié ses cultures, ces dernières années : les framboises (première entreprise à introduire la culture dans la région du Souss), le piment avec plus de 700 tonnes cultivées chaque année, des courgettes noires Zucchini, des melons, mais également la chicorée pour laquelle une expertise a été développée autour du radicchio.

le nouveau site internet
de Maïsadour Maroc

Cavac s’engage

pour une agriculture « régénérative »



Les 7 et 8 mars dernier, a été lancé officiellement le projet pour une agriculture « régénérative ». La coopérative s’engage dans un véritable projet d’entreprise à travers des formations pour interpeller les agriculteurs sur l’enjeu de leurs sols et accompagner la transition des modes de production vers plus de résilience.

Mûri par les agriculteurs et agricultrices membres du conseil d’administration de la coopérative, cet engagement d’aller vers une agriculture « régénérative », est né du constat qu’il faut accompagner la transition des modes de production, avec l’objectif d’augmenter la résilience des sols ; notamment en favorisant les couverts végétaux, véritables outils de fertilisation et de structuration et ainsi développer des solutions plus économes en intrants chimiques et en énergies fossiles.

Sol nu, sol foutu : sol couvert, sol prospère !

Point de départ du projet, la présentation et la validation auprès du conseil d’administration de la coopérative durant l’année 2022. Puis, courant janvier 2023, le service agronomie de Cavac présente la démarche et les actions qui vont être mises en place sur l’ensemble du territoire Cavac aux élus des 11 comités de sections de la coopérative. L’occasion de montrer les premiers résultats encourageants des 30 exploitations « tests » déjà engagées dans la démarche.

Deuxième moment clé de ce projet, la conférence de Konrad Schreiber, qui marque le début de cette transition. Plus de 250 personnes, à la fois techniciens et techniciennes de Cavac et agriculteurs et agricultrices élus de la coopérative, sont venus écouter cette personnalité reconnue dans le monde de l’agriculture du vivant. Expert de l’agronomie, de la chimie des sols, de l’histoire de l’agriculture et de la biologie, mais aussi fondateur de l’association Vers de Terre Production, il marque les esprits, remet en cause les modèles, bouscule les idées reçues sur les techniques. Il propose une véritable nouvelle approche du travail du sol par les plantes qu’il expérimente et vérifie depuis 20 ans sur le terrain, dans toute la France, dans le cadre de son association.

« Dans un itinéraire classique, on peut laisser quasiment 6 mois le sol nu sans bénéficier du pouvoir de la photosynthèse. L’idée est de capter au maximum l’énergie solaire tout au long de l’année pour transformer la matière végétale en matière organique », explique-t-il.

Le concept essentiel qui en ressort, est de rapprocher de plus en plus les phases de réimplantation des cultures entre chaque récolte. Par exemple, semer des Cultures Intermédiaires Multi-Services (CIMS) juste avant ou après la moisson (dans les 48h), afin de se protéger de l’érosion, de recréer de la matière organique et donc de renforcer sa réserve utile face aux sécheresses. Par exemple, un mélange de trèfle, de féverole et d’avoine pour restructurer le sol grâce aux systèmes racinaires de chaque plante, dont certaines peuvent atteindre 1 mètre de profondeur, et apporter de l’azote grâce au pouvoir des légumineuses.

« Le changement ce n’est jamais quelque chose de très simple, donc il faut l’initier, il faut souvent bousculer les idées reçues, ouvrir un peu les esprits, sans rentrer dans l’utopie, et c’était l’objectif recherché de la conférence de Konrad Schreiber », soutient Simon Juchault, directeur agronomie et environnement de Cavac.

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lorca1049

Inauguration



Inauguration de La Maison Point Vert à Val de Briey

la maison point vert de val de briey nous dévoile son nouveau visage

La Maison Point Vert de Briey a achevé sa métamorphose ! Après plus de 7 mois de travaux, le magasin a été repensé pour offrir une expérience d’achat plus moderne et agréable à ses clients.

Historiquement connu sous le nom de BricoPro, ce local de 2024 m2 a été acheté en 2007 par LORCA. On le nomme alors Point Vert le Jardin. En 2015, il est le premier magasin à passer sous enseigne La Maison Point Vert du Groupe LORCA. 16 ans après son ouverture, le chantier a été colossal mais porté par une équipe impliquée et investie.

L’inauguration officielle a eu lieu ce mardi 18 avril 2023 en présence des élus locaux.

Digimag

digitaliser pour mieux gérer



Cette plateforme digitale collaborative est devenue un outil central d’optimisation des tâches quotidiennes pour les managers et leurs équipes.

« Digimag est un véritable couteau suisse qui offre un maximum de réponses aux questions ou problématiques qui pourraient se poser dans nos magasins. Nos collaborateurs vendeurs sont équipes d’une tablette avec un logiciel qui centralise une multitude de données pratiques sur différents aspects (PLV, rayonnage, gestion des stocks, supports de communication, base de données produits…). L’outil nouspermet de créer une véritable synergie entre les magasins qui peuvent communiquer entre eux, ce qui participe l’uniformisation de la stratégie et de la gestion de nos différents points de ventes » , explique Marc Bigot, Responsable adjoint du pôle distribution grand public.

Depuis l’arrivée de cet outil, les magasins Gamm vert ont bénéficié d’une amélioration de l’organisation en interne, qui par conséquent permet aux collaborateurs d’être encore plus productifs et efficaces.

« Nous gagnons un temps considérable sur des tâches de gestion, ce qui nous permet donc d’être encore plus performant dans l’accompagnement de notre clientèle. Digimag permet de ritualiser et rythmer les tours du magasin. Pour des petites équipes comme les nôtres, où il est difficile d’avoir l’ensemble du personnel pour les réunions, cela donne un fil rouge.
Au-delà de l’appli Digimag l’appareil « Zébra » est un superbe outil tout-en-un nous accompagnant au quotidien (accès au backoffice, PAN, vente par correspondance, étiquetage, affichage, formation, etc) »
- , explique Vincent Robin, responsable du magasin d’Auneau.

Aujourd’hui, l’ensemble des magasins Gamm vert de la SCAEL sont équipés de Digimag. À terme, l’objectif pour le pôle distribution grand public sera d’atteindre une multicanalité totale à la fin du Printemps.

Site internet : https://www.groupe-scael.com