Le 6 mai 2021, Ÿnsect, leader mondial
de la production d’ingrédients naturels
à base d’insectes, a inauguré le chantier de sa troisième unité de production, ŸnFarm.
L'occasion pour Noriap et Jean-François Gaffet, son président, de présenter le partenariat conclu avec la plus grande ferme verticale à insectes, située en plein coeur de son territoire à Poulainville (80).
Un partenariat pluri-annuel avec la coopérative Noriap
Pour son approvisionnement en matières premières, Ÿnsect s’engage dans un partenariat durable avec les agriculteurs des Hauts-de-France au travers d'un accord pluri-annuel avec Noriap. Ce partenariat est le reflet d’une confiance partagée et d’une vision commune pour une agriculture française plus durable.
« Notre métier est de valoriser les productions de nos adhérents, donc naturellement l'arrivée d'un projet qui consomme des céréales sur notre territoire ne pouvait que nous intéresser. Par ailleurs, Noriap va apporter son expertise pour la gestion des approvisionnements, le stockage et la manutention des céréales et co-produits d’industries céréalières. D’autres sujets suivront naturellement dans le partenariat, notamment dans le cadre du programme TerrHa 2040 porté par Ÿnsect », explique Jean François Gaffet, président de NORIAP.
TerrHa 2040, un projet collectif et territorial pour une agriculture régénérative
TerrHa 2040 est un projet piloté par Ynsect, en partenariat avec notamment PUR Projet, entreprise à impact qui aide les entreprises et les communautés à préserver et régénérer les écosystèmes dont elles dépendent, Noriap et des Enfants et des Arbres, association qui a pour objet de promouvoir la transition écologique par la sensibilisation des enfants.
L'ambition : planter sur le territoire des Hauts-de-France, d’ici 2040 près 1700 km de haies, soit 1,8 millions d’arbres, chez 1100 agriculteurs partenaires pour une séquestration de plus de 190 000 tonnes de CO2 d’ici 2040.
Ce 19 mai, le groupe coopératif d’agriculteurs Arterris ouvrait les portes de son tout premier magasin « MO » Marché Occitan à Balma (Haute-Garonne) en lieu et place de sa boutique Larroque. Cette inauguration s’inscrit dans la continuité du lancement du site marchand marcheoccitan.fr en novembre dernier et illustre la volonté de développement des pôles agroalimentaire et distribution du groupe.
Ce nouveau concept de boutique de proximité favorisant les circuits-courts sera ensuite étendu, suite au transfert d’enseigne progressif des magasins Larroque et Les Fermiers occitans, avec pour objectif l’ouverture d’une vingtaine d’enseignes d’ici 5 ans.
MO : un concentré d’Occitanie au sein d’une enseigne unique
La Direction du groupe Arterris affiche des ambitions fortes pour ses 3 pôles d’activité et notamment celui de la distribution grand public. Ainsi, la coopérative a lancé sa marque enseigne « MO » Marché Occitan en novembre dernier. D’abord en e-commerce, ce concept de boutique de proximité vient de se matérialiser par l’ouverture de la première boutique physique implantée à Balma, en périphérie de Toulouse. Située à proximité d’un centre urbain et sur un lieu de passage facilement accessible près du périphérique toulousain, l’emplacement de cette première enseigne est stratégique et répond au positionnement de son concept qui joue à plein sur la quotidienneté, la praticité, tout en amenant une véritable expérience en magasin.
La boutique MO se substitue à l’ancienne boutique Larroque, marque historique de la coopérative positionnée essentiellement sur le canard gras et la volaille, en proposant une offre de produits plus diversifiée couvrant l’ensemble des métiers de bouche (boucherie, épicerie sucrée, salée, légumes,
crèmerie, rôtisserie, etc.). Plus de 500 références sont proposées (300 en frais et 200 produits ambiants), dont 70% de produits issus des productions de la coopérative, et 30% de produits provenant de fournisseurs partenaires locaux.
L’enseigne propose une gamme permanente et une gamme adaptée en fonction de la saisonnalité. Le parcours client de l’ancienne boutique Larroque a été entièrement repensé à travers la mise en place de la vente en libre-service. Une partie traiteur traditionnelle a toutefois été conservée pour proposer de la vente assistée (conseils et idées recettes) aux consommateurs, ainsi que des dégustations spontanées.
« L’idée de ce nouveau concept de magasin est de concentrer au même endroit tout ce dont les consommateurs ont besoin au quotidien afin de devenir la boutique de proximité où l’on vient faire ses courses. Outre les produits locaux de la coopérative, on y trouve des produis innovants comme notre foie gras aux griottes ou encore notre cassoulet frais traiteur, produits dans notre atelier de Montauban », affirme Bruno Theillac, Directeur opérationnel sur le pôle distribution du groupe Arterris.
Une relation sans intermédiaire avec les producteurs occitans
La coopérative met un point d’honneur à favoriser le circuit-court en proposant des produits de qualité au prix le plus juste, tout en assurant une rémunération équitable des producteurs. Les conditions d’élevage et l’origine des ingrédients sont soigneusement contrôlés.
En effet, MO a pour vocation d’offrir des débouchés aux producteurs locaux. Ainsi, on retrouve par exemple au sein de l’enseigne les fromages de la fromagerie Marzac à Revel (31), des produits confectionnés de manière artisanale dont le lait provient de producteurs situés au cœur de l’Occitanie. Côté boucherie, les bêtes des producteurs Arterris sont valorisées à travers un partenariat avec le comptoir Appameens des viandes à Pamiers.
Un concept amené à se développer
Le site marchand MO a représenté un premier virage dans la diversification de l’activité de la coopérative. « Les résultats du site ont largement dépassé nos ambitions, avec près de 50 000 visites et plus de 90 000€ de CA réalisés depuis novembre, ce qui nous a permis de tester le concept et les produits avant de les proposer désormais dans le magasin MO physique », explique Laura Trova, Responsable Marketing et offres boutiques d’Arterris. Les ventes ont été réparties de manière équitable entre le click and collect et la livraison à domicile (essentiellement issue de régions extérieures à l’Occitanie), ce qui ouvre des perspectives de développement potentielles au niveau national et même international.
L’ouverture de la première enseigne à Balma va désormais permettre de valider cette approche. La coopérative ambitionne de réaliser un chiffre d’affaires prévisionnel d’1,5 millions la première année. Par la suite, Arterris projette de remplacer peu à peu les autres enseignes Larroque et Les Fermiers Occitans, avec pour objectif une vingtaine de magasins MO d’ici 5 ans, développés en propre ou en franchise selon les opportunités rencontrées.
Le groupe Advitam unit ses forces pour lancer une solution globale en robotique dans la région
Advitam réunit les expertises des pôles agroéquipement, coopérative et négoce pour proposer une solution globale en robotique aux agriculteurs des Hauts-de-France. Conciliant conseil agronomique, machinisme et agriculture de haute précision, cette solution innovante vise à apporter une nouvelle alternative à la gestion des intrants et à l’optimisation de la main d’œuvre, enjeux essentiels de l’agriculture de demain. Advitam s’est associé à Naïo Technologies (français) et à Farmdroïd (danois) pour constituer son offre et mener des expérimentations avant la commercialisation.
Le groupe Advitam, un collectif au service de la transformation des pratiques
Conscient que la robotique est un marché un plein essor et qu’il présente des enjeux sociaux et environnementaux essentiels à une transition agricole réussie, Advitam a initié un projet en ce sens. Pour relever ce défi, le groupe coopératif joue la carte de la synergie en réunissant les expertises de 3 de ses pôles pour proposer une solution innovante et unique à ses clients et adhérents agriculteurs. « Le groupe Advitam est fort d’un collectif aux expertises variées qui a permis de bâtir une solution unique en robotique dans la région. Nous avons pu concilier nos savoir-faire en agronomie, en agriculture de précision et en machinisme pour apporter une réponse supplémentaire aux enjeux environnementaux, sociaux et sociétaux de demain. » précise Frédéric HAZAN, Directeur Général d’Advitam Agroéquipement. En effet, cette nouvelle offre renforce les synergies du groupe coopératif en impliquant le pôle agroéquipement, le négoce Ternoveo et la coopérative Unéal.
Une offre robotique à destination de tous les modèles agricoles
Pour constituer son offre en robotique, le groupe Advitam s’est associé à Naïo Technologies (français) et à Farmdroïd (danois) afin de consolider son expertise. Ces deux solutions permettent au groupe de mener des expérimentations en semis et en désherbage, enjeux majeurs de la transition agronomique quel que soit son modèle agricole :
Limiter les intrants avec Naïo Technologies
Leader de la robotique agricole française, Naïo est un robot de désherbage mécanique. Couplé à du désherbage chimique, il permet de limiter les intrants. Equipé d’une caméra, il désherbe les cultures dans l’inter-rang à un stade développé des adventices. Initialement conçu pour le maraîchage, il est capable de désherber salades, choux, poireaux... Actuellement expérimenté sur betteraves et haricots verts.
Semis et désherbage 100% mécanique avec Farmdroïd
Le robot danois a la capacité de semer et de désherber de façon totalement autonome sur une surface d’environ 20 ha (pour un usage optimal). Grâce à un système de géopositionnement des graines semées, il est capable de désherber dans le rang et dans l’inter-rang à l’aveugle (sans caméra) et ainsi d’anticiper la pousse des adventices.
Conçu pour les systèmes de grandes cultures en agriculture biologique ou HVE, Farmdroïd est actuellement expérimenté sur betteraves sucrières, chicorées et oignons.
Des expérimentations avant la commercialisation
Jusqu’à l’automne, les 2 outils robotiques seront expérimentés sur diverses cultures présentes dans la région, en semis et en désherbage, afin d’évaluer leur pertinence, leur rentabilité, leur fiabilité, leur sécurité et leur bonne prise en main. « La robotique ouvre une nouvelle voie vers les changements de pratiques et devrait permettre d’apporter des solutions concrètes tant sur le plan environnemental avec la limitation des intrants que sur le plan social avec une meilleure gestion de la main d’œuvre. Cette phase d’expérimentations doit nous permettre de proposer une offre qualitative pour acquérir la confiance de nos clients et adhérents. » indique Gabriel DELORY, Vice-Président de la coopérative Unéal et du groupe Advitam.
D’ici la fin de l’année, les robots Naïo et Farmdroïd devraient être commercialisés à travers les concessions d’Advitam Agroéquipement (Casa Service Machine et Verhaeghe). La coopérative Unéal et le négoce Ternoveo assureront, quant à eux, leur rôle de support et d’accompagnement terrain auprès des agriculteurs pour poursuivre la synergie engagée avec le pôle machinisme depuis le début du projet.
110 Bourgogne a reçu la visite de Mmes les Sénatrices Dominique VERIEN et Marie-Agnès EVRARD, du Préfet de l’Yonne, M. Henri PREVOST, de Mme la Directrice Adjointe de la DDT, Manuelle INES, de M. le Chef du Pôle Marché et Mesures Nationales à FranceAgriMer, Nicolas AURY, ainsi que de M. le Président de la Communauté de Communes Chablis Villages et Terroirs, Etienne BOILEAU.
Le programme de l’après-midi s’est décomposé en 2 temps
Gérard DELAGNEAU, président, et Jean-Marc KREBS, directeur de 110 Bourgogne, ont présenté la coopérative aux invités. Le groupe s’est ensuite rendu sur le site de Nitry, pour visiter le silo et ses infrastructures.
Retour sur les 7 derniers mois pour comprendre la genèse de cet évènement.
Depuis un an, la demande en produits tracés Origine France a connu une forte progression. L’épidémie de Covid 19 n’est pas étrangère à cette gradation, car elle a fait naître chez les français un regain d’intérêt pour la qualité et l’origine des aliments qu’ils trouvent dans leurs assiettes.
Face à cette demande croissante, le conseil d’administration de 110 BOURGOGNE a décidé de donner une nouvelle impulsion au développement des contrats filières à destination des adhérents de la coopérative, avec l’objectif de satisfaire les attentes du marché tout en valorisant les productions des agriculteurs.
Décision prise, dès le mois d’octobre 2020, les équipes de l’union SeineYonne ont cherché de nouveaux débouchés pour des contrats de productions CRC® (Culture Raisonnée Contrôlée) et BARILLA. En parallèle, un groupe de travail s’est mis en place au sein de la coopérative pour étudier la faisabilité de ce projet en termes d’infrastructures et de matériels pouvant accueillir ces productions.
Pour répondre à une demande pressante, il a fallu être très réactif.
A dater du mois de novembre, après avoir analysé la capacité de la coopérative à produire ces nouveaux contrats, le feu vert est donné à l’équipe productions végétales pour proposer les contrats CRC® et BARILLA aux adhérents. En parallèle, pas moins de 16 entreprises ont été contactées et 74 devis ont été établis, le tout sur une période de 1,5 mois.
Un travail de mise en lumière de l’ensemble des modifications à apporter pour respecter le cahier des charges CRC® et BARILLA a également été effectué.
Début janvier 2021, la coopérative a déposé un dossier de candidature dans le cadre de l’appel à projet France Relance : Structuration des filières agricoles et agroalimentaires.
L’objectif était le financement d’une partie des investissements nécessaire à la réalisation de ce projet (investissements qui s’étaleront sur la récolte 2021 et sur la récolte 2022). En concomitance avec cette démarche, les travaux ont été planifiés sur les 14 sites pour les 5 mois à venir.
2 février 2021, lancement officiel des travaux dans 14 de nos silos : 3 en Côte d’Or, 9 dans l’Yonne et 2 en Seine et Marne, qui permettront à terme d’augmenter la capacité de stockage destinée aux productions en filière de 100 000 tonnes.
Une bonne nouvelle n’arrivant jamais seule, le 7 avril 2021, FranceAgriMer annonce à 110 Bourgogne qu’elle fait partie des structures retenues pour l’appel à projets du plan France Relance.
La coopérative va ainsi bénéficier d’une subvention de 1.5 millions d’euros, et tous les contrats de productions ont été mis en place chez nos adhérents.
Grâce au travail des équipes de la coopérative et de SeineYonne, grâce à nos adhérents, qui une fois encore nous ont fait confiance, et grâce à nos partenaires sur ce projet, c’est 45 % des blés de la coopérative en filière qualité tracés qui sont attendus pour la récolte 2021, avec un gain de valeur ajoutée d’ 1,1 millions d’euros qui seront reversés aux adhérents!
La visite des élus et de M. le préfet est venue ponctuer le travail déjà accompli par les équipes à ce jour.
110 Bourgogne, dans son intention de valoriser toujours mieux les productions de ses adhérents, a aujourd’hui choisi la filière CRC® comme une des voix d’excellence dans sa démarche filière qualité, et la coopérative n’est pas la seule, car à ce jour, ce ne sont pas moins de 34 coopératives et négoces et plus de 3000 agriculteurs qui croient en cette démarche.
La filière CRC® a de beaux jours devant elle. Au cœur des demandes, elle sera d’ailleurs mise une fois de plus sur le devant de la scène avec une série de spots publicitaires sur les chaînes du groupe France Télévision dès le mois de juin !
Site internet : https://www.110bourgogne.fr/objectif-filiere-2022-pour-110-bourgogne.html
Les membres de l'Union de coopératives France Gâtinais Céréales (Boisseaux, Puiseaux, Caproga et IDF Sud) sont fiers d’accueillir la coopérative Terres Bocage Gâtinais (TBG) au sein de l'union de commercialisation de leurs collectes à compter du 1er juillet 2021. La proximité des territoires, des productions et le partage d’une même vision de l’agriculture sont autant d'arguments pour légitimer cette nouvelle adhésion.
Le conseil d'administration de TBG, conscient des enjeux et des défis à relever dans les années à venir, a quant à lui souhaité se rapprocher de l’Union France Gâtinais Céréales (UFGC) afin d'optimiser la vente de la collecte de la coopérative.
Avec l'élargissement de son périmètre, les équipes de l'UFGC auront la responsabilité de mettre en marché plus de 1 millions de tonnes de céréales et d’oléo-protéagineux.
Mr Grégoire,
Président de Terres Bocage Gâtinais
« La proximité des territoires, des productions très proches et des moyens logistiques complémentaires nous ont conduit naturellement à nous rapprocher de l'Union France Gatinais Céréales »
Mr Foucher,
Président de L'UFGC et IDF Sud
« L'arrivée de TBG dans l'union nous permet de renforcer la cohérence de nos offres auprès de nos clients tout en la sécurisant ».
Avril dévoile sa raison d'être,
pilier de sa nouvelle ambition
Aux termes d’une démarche de co-construction qui a associé largement, depuis plus de trois ans, collaborateurs, représentants de l’amont agricole et comité de parties prenantes, Avril a défini sa raison d’être : « Servir la Terre ». En ligne avec l’histoire et la mission du Groupe depuis sa création au début des années 1980, cette raison d’être a orienté les décisions stratégiques présentées en avril dernier et la nouvelle ambition du groupe: parce qu’être le leader des solutions issues de la transformation végétale au service des transitions agricole, alimentaire et environnementale, c’est Servir la Terre.
« Servir la Terre » : de la raison d’être à la raison d’agir
Pour Avril, « Servir la Terre », c’est contribuer à répondre à deux enjeux majeurs : l’urgence climatique et la croissance démographique qui sollicite plus que jamais les ressources de notre planète. Relever ces défis impose de faire évoluer nos modes alimentaires, nos pratiques agricoles, nos choix énergétiques. Avril choisi de s’engager dans ce mouvement et prolonge sa mission historique par une raison d’être qui réaffirme son pouvoir d’agir. De fait, par ses activités, le Groupe est un acteur engagé, au service des transitions agricole, alimentaire et environnementale. Cette raison d’être exprime ainsi la façon dont le Groupe entend poursuivre son développement de manière durable, créer de la valeur pour la filière et renforcer sa contribution à la Société.
« Servir la Terre » : 6 engagements ambitieux pour une action concrète et transformative
Cette raison d’être se concrétise à travers six engagements, qui inscrivent dès à présent le Groupe dans une dynamique de transformation profonde. Cette démarche de progrès, mesurée chaque année par un cabinet indépendant et inscrite dans les critères de performance, va à la fois soutenir le développement futur et progressivement faire évoluer les pratiques quotidiennes des 7 600 collaboratrices et collaborateurs qui tous les jours agissent dans les 19 pays du Groupe.
- AGIR POUR UNE AGRICULTURE RESPECTUEUSE DE LA PLANETE. Parce que nous croyons à une agriculture nourrissant les hommes et respectueuse de la planète, nous nous engageons à être le lien avec les producteurs, qui permet le dialogue et construit des solutions, pour une alimentation saine et une juste rémunération du travail des agriculteurs.
- AGIR POUR LA PROTECTION DES RESSOURCES NATURELLES ET LA BIODIVERSITE. Parce que nous continuerons d’importer des matières premières agricoles qui ne peuvent être produites localement et qui viennent de pays exposés au risque de déforestation ou de conversion d’écosystèmes menacés, nous nous engageons à ce que d’ici 2030, 100% de nos approvisionnements en palme et en soja soient issus de cultures durables.
- AGIR POUR LE DEVELOPPEMENT DES FILIERES LOCALES. Parce que nous sommes attachés au dynamisme des territoires, nous nous engageons à accélérer le développement des filières d’approvisionnement locales dans tous nos domaines d’activité, et dès 2025 pour 100% de nos huiles alimentaires quand les matières premières existent localement.
- AGIR POUR L’IMPACT DE NOS INVESTISSEMENTS. Parce que nous souhaitons avoir un impact positif sur les territoires et l’environnement, nous nous engageons à ce que d’ici 2030, 100% de nos investissements, industriels ou financiers, soient fondés sur des critères économiques, environnementaux et sociaux.
- AGIR POUR LE CLIMAT. Parce que nous soutenons l’Objectif des Nations Unies de limiter à 2°C le réchauffement climatique, intégré aux Accords de Paris, nous nous engageons à réduire de 30%, d’ici 2030, toutes nos émissions de gaz à effet de serre, directes et indirectes. (vs. année de référence 2019).
- AGIR POUR UN PROJET COLLECTIF ET INCLUSIF. Parce que nous croyons en la force du collectif, à l’origine de notre modèle et de notre gouvernance, nous nous engageons à nourrir un dialogue permanent et exigeant avec l’ensemble de nos parties prenantes.
Jean-Philippe Puig, Directeur Général du Groupe, a déclaré : « Je suis fier de cette raison d’être qui exprime notre intelligence collective et réaffirme le pouvoir d’agir de notre mission d’origine. C’est une nouvelle étape dans l’histoire d’Avril. Plus qu’une raison d’être, « Servir la Terre » est une raison d’agir pour les femmes et des hommes qui font la réalité de ce Groupe depuis près de 40 ans. Portés par cette ambition, nous nous engageons collectivement à développer des solutions qui répondent aux enjeux actuels. C’est notre responsabilité que d’y contribuer et d’accompagner ce mouvement global de transition, à la fois agricole, alimentaire et environnementale. « Servir la Terre » donne du sens à notre action et éclaire nos décisions au quotidien pour la gestion du Groupe et pour son développement futur. Parce que chez Avril, nous avons tous le pouvoir et le devoir de Servir la Terre. »
Site internet : www.groupeavril.com/fr/raison-detre