S'abonner à l'hebdo

Hebdo N°19 - Vendredi 18 mai 2018

Anciens numéros

S'abonner à l'hebdo

Pour vous abonner à l'hebdo des coops métiers du grain, dont la diffusion est réservée aux adhérents de Coop de France et à son réseau, merci de remplir et de valider le formulaire ci-dessous.

obligatoire




Valider

Déclaration CNIL
Coop de France met en place un traitement de données à caractère personnel dans le cadre de ses missions d'assistance et d'information aux coopératives adhérentes. Ces données sont collectées lors de votre adhésion, des missions de conseil que nous réalisons ou lorsque vous remplissez ce formulaire et sont destinées aux employés de Coop de France exclusivement. Elles sont par ailleurs contrôlées annuellement. Conformément à l'article 32 de la loi du 6 janvier 1978, vous disposez d'un droit d'accès, de rectification et de suppression des données vous concernant. Ce droit peut être exercé auprès de Nicolas Gremont, au service informatique à l'adresse suivante : nicolas.gremont@coopdefrance.coop.

Partager la page

Actualités de la filière

Rubriques

LOI EGA


 

Coop de France rencontre le Ministre de l’agriculture et de l’alimentation

Michel PRUGUE, Président de Coop de France, a été reçu ce jour par Stéphane TRAVERT, Ministre de l’Agriculture et de l’alimentation.
Dans un esprit d’écoute réciproque, cet échange a permis, à une semaine du débat en séance publique à l’Assemblée nationale sur le projet de loi pour l’équilibre des relations commerciales dans le secteur agricole et alimentaire et une alimentation saine et durable, d’analyser les propositions d’amendements formulées par Coop de France. Il a également permis un échange sur le devenir de la Politique Agricole Commune.

Michel PRUGUE a tout d’abord rappelé que la relation entre les associés coopérateurs et leur coopérative n’étaient pas de nature commerciale, mais relevait d’une relation spécifique au travers de laquelle les agriculteurs sont à la fois propriétaires de la coopérative, clients par le regroupement des achats et fournisseurs en déléguant la commercialisation de leur production. Le Président de Coop de France a également indiqué que l’ordonnance portant sur le statut coopératif, inscrite à l’article 8-1 1° du projet de loi, allait venir compléter un corpus législatif déjà extrêmement important et d’ores et déjà très précis. Pour Michel PRUGUE, les points soulevés par l’ordonnance relèvent plus de la pratique que de la loi. C’est pour cette raison que Coop de France demande la suppression de cet alinéa et a lancé en mars dernier un Grand Débat Coopératif (www.lacooperationagricole.coop) afin de permettre aux associés coopérateurs et salariés des 2500 coopératives agricoles françaises de s’exprimer.

Michel PRUGUE a ensuite abordé le volet des relations commerciales porté par le Projet de loi. Il a interpellé le Ministre sur l’amendement adopté en Commission des affaires économiques de l’Assemblée nationale conduisant à sortir les produits agricoles et alimentaires du formalisme des négociations commerciales annuelles (article L 441-7 du Code du commerce). Coop de France propose un amendement de suppression afin de rétablir ce formalisme protecteur, indispensable pour nos entreprises. Cet amendement serait accompagné d’un renforcement de la clause de renégociation (article L 441-8 du Code du commerce).

Enfin, Michel PRUGUE a abordé les articles 14 et 15 du projet de loi relatifs aux produits phytosanitaires. Il a rappelé que, si Coop de France partageait les objectifs de réduction de l’utilisation des produits phytosanitaires portés par le Gouvernement, notre Fédération était très vigilante sur l’opérationnalité des dispositions formulées et leur délai de mise en œuvre. C’est en ce sens que Coop de France propose de préciser le périmètre de l’article 14 et de mieux définir la nature de la séparation de la vente et du conseil de l’article 15, afin de s’assurer d’une mise en œuvre effective des Certificats d’Économie de Produits Phytopharmaceutiques (CEPP).

Concernant le devenir de la Politique Agricole Commune, Michel PRUGUE a réagi à la proposition de la Commission européenne de réduire le budget de la PAC en saluant la position prise par le Ministre et le Gouvernement.

Dans ce cadre, il a insisté sur le fait que la prochaine PAC devrait s’appuyer sur un véritable dispositif de gestion des risques en agriculture, composé d’outils complémentaires (épargne individuelle, fonds mutuels, assurances). Le Président de Coop de France a souligné la nécessité de mettre en œuvre progressivement les dispositions votées dans le règlement Omnibus.

Enfin, Michel PRUGUE a salué les avancées relatives au renforcement du rôle des organisations de producteurs (OP) et des associations d’organisation de producteurs (AOP) portées par le règlement Omnibus et analysées par l’avis de l’autorité de la concurrence du 3 mai dernier. Le Président de Coop de France a appelé l’attention du Ministre sur la nécessité de poursuivre la clarification de cette démarche de concentration de l’offre en lien avec le risque d’abus de position dominante.

Pour Michel PRUGUE, « cette rencontre constructive a permis de partager avec le Ministre l’importance du modèle coopératif en agriculture. Assumer une véritable vision économique, analyser avec objectivité les rapports de force, prendre des décisions opérationnelles et tenir compte des délais nécessaires aux transitions, sont des éléments fondamentaux pour faire face aux nécessités de compétitivité et aux attentes de la société, ces dernières devant elles-mêmes s’inscrire dans des marchés rentables. Le projet de loi, comme la future PAC, doivent résolument s‘intégrer à ce cadre. »

RAFFINERIE DE LA MEDE




La décision de Nicolas Hulot : une gifle pour les agriculteurs français

La FOP (Fédération des producteurs d’oléagineux et de protéagineux) a pris connaissance ce matin avec stupéfaction et colère des propos tenus par Nicolas Hulot, Ministre de la Transition Écologique et Solidaire. Interrogé sur l’arrêté d’autorisation du site de Total de La Mède et sur la question de l’approvisionnement en matières premières de ce site, Nicolas Hulot a déclaré avoir accepté que la raffinerie de La Mède produise des biocarburants à partir d’huile de palme et d’huiles usagées.

Face à un projet qui a pourtant suscité de vives oppositions agricoles et environnementales, Nicolas Hulot a capitulé :

  • En validant le choix de la déforestation importée à partir d’huile de palme,
  • En ouvrant les vannes des huiles usagées, déchets majoritairement importés d’Asie et en grande partie issus de l’huile de palme,
  • En sacrifiant le colza français, matière première locale et tracée pour la production de biocarburants Made in France,
  • En restant sourd à la société civile qui pour 71% est strictement opposée à l’utilisation d’huile de palme dans les carburants (sondage Odoxa, avril 2018),
  • En signifiant aux États membres de l’UE que la France a fait son choix : elle continuera à importer de l’huile de palme au mépris de l’Accord de Paris et du réchauffement climatique,
  • En faisant le choix de la protéine OGM importée pour nourrir les élevages français, en contradiction totale avec les engagements du président de la République.

Pour Arnaud ROUSSEAU, président de la FOP : « Cette décision est incompréhensible. Outre son non-sens écologique, elle est une gifle contre notre secteur. Elle marque une rupture, un renoncement à l’ambition agricole portée par le gouvernement. Les agriculteurs ne méritent pas un tel mépris. »

Points‐clés du conseil spécialisé


 

Pour la filière céréalière
du 16 mai 2018

Le conseil spécialisé pour la filière céréalière réuni le 16 mai 2018, sous la présidence de Rémi Haquin, a validé les nouvelles prévisions de FranceAgriMer pour la campagne commerciale en cours. Le conseil a également pris connaissance des dernières évolutions de l’état des cultures de céréales pour la récolte 2018, sur la base des observations du réseau Céré’Obs piloté par FranceAgriMer ainsi que des perspectives de développement du biocontrôle dans le secteur des céréales.

Nouvelles prévisions pour la campagne commerciale française 2017/18

Le regain de compétitivité du blé tendre français se confirme : FranceAgriMer révise à la hausse ses prévisions de ventes vers l’Union européenne et d’export vers les pays tiers

Les prévisions de livraisons de blé tendre vers l’Union européenne pour la campagne commerciale 2017/18 sont portées à près de 9,1 Mt (+ 135 000 tonnes par rapport au mois dernier), en raison du dynamisme des ventes vers le nord de l’Union européenne ces dernières semaines. Les prévisions d’exportations vers les pays tiers sont également révisées à la hausse à 8,4 Mt (+ 100 000 tonnes par rapport aux dernières prévisions), en raison de l’évolution du taux de parité euro/dollar plus favorable aux origines françaises et du tarissement progressif de l’origine russe dont les cours augmentent en cette fin de campagne. Au 14 mai 2018, la France avait exporté 7,1 Mt de blé, dont 3,6 Mt vers l’Algérie, 0,9 Mt vers le Maroc et près de 0,6 Mt vers l’Arabie saoudite, avec des embarquements record le mois dernier depuis le début de la campagne. Au total, le stock de blé pourrait s’alléger à 2,5 Mt en fin de campagne.

L’orge et le maïs français profitent aussi d’une belle dynamique de fin de campagne à destination de nos voisins européens avec des prévisions de ventes vers l’UE révisées à la hausse à 5 Mt de maïs (+ 180 000 tonnes par rapport au mois dernier) et 3,4 Mt d’orges (+ 150 000 tonnes). Les prévisions d’exportations d’orges vers les pays tiers sont, en revanche, minorées de 300 000 tonnes à 3,1 Mt.

Blé dur : baisse des surfaces françaises prévue en 2018 malgré une belle dynamique d’exportations intracommunautaires en 2017/18

Les dernières estimations du service statistique du ministère de l’Agriculture et de l’Alimentation, font état d’une baisse de 2 % des surfaces françaises semées en blé dur pour la récolte 2018 à 361 000 hectares en dépit du dynamisme des exportations intracommunautaires en 2017/18. En effet, FranceAgriMer prévoit désormais pour 2017/18, des exportations à destination de l’Union européenne de 1,2 Mt, en progression de 200 000 tonnes par rapport aux prévisions du mois dernier. Cette dynamique intracommunautaire compense très largement la baisse des exportations vers les pays tiers, désormais prévues à 330 000 tonnes (‐20 000 tonnes par rapport au mois dernier). Les pays du Maghreb restent toutefois structurellement déficitaires et leurs besoins sont prévus par le CIC à plus de 3 Mt pour la prochaine campagne 2018/19. La filière française a donc une carte à jouer en blé dur vers ses destinations de proximité du pourtour de la Méditerranée, dans un contexte de production européenne projetée en baisse de 2 % en 2018/19. L’écart de prix entre blé tendre et blé dur s’est néanmoins resserré au cours des derniers mois, freinant le développement des surfaces en blé dur, culture plus risquée en termes d’exigences qualitatives.

État des cultures pour la récolte 2018 : conditions de culture bonnes à très bonnes pour plus des trois‐quarts des surfaces semées en céréales

Le printemps ensoleillé et doux qui s’est installé en France au cours des dernières semaines a permis aux cultures de rattraper leur retard de développement, provoqué par un hiver pluvieux et des gelées tardives. À l’exception du blé dur, les céréales à paille sont dans la plupart des régions au même stade de développement, voire en avance par rapport à la moyenne des cinq dernières années. Au 7 mai 2018, le stade épiaison est atteint pour 13 % des surfaces en blé tendre (9 % en 2017), 71 % des surfaces en orge d’hiver (50 % en 2017) et 21 % des surfaces en blé dur (42 % en 2017). La densité des épis est moyenne du fait des excès d’eau en sortie d’hiver. Les semis de maïs, effectués aux trois‐quarts, ont été réalisés dans de bonnes conditions. Ils sont en retard de 5 jours par rapport à la moyenne des cinq dernières années. Les conditions de culture sont bonnes à très bonnes pour plus des trois‐quarts des surfaces semées en céréales.

Pour en savoir plus, consulter le dernier rapport Céré’Obs sur l’état des cultures :

https://cereobs.franceagrimer.fr/Pages/publications.aspx

Protection des plantes en France : tripler la part de marché du biocontrôle d’ici 2025

IBMA France, l’association française des entreprises de produits de biocontrôle qui regroupe une trentaine d’organismes actifs dans ce secteur, a présenté au conseil spécialisé les perspectives de développement du biocontrôle dans le secteur des grandes cultures, déjà utilisé pour lutter contre la carie des céréales, la fusariose ou la pyrale du maïs.

La loi d'avenir pour l'agriculture, l'alimentation et la forêt du 13 octobre 2014 a introduit plusieurs dispositions visant à encourager l'utilisation des solutions de biocontrôle pour la protection phytosanitaire des végétaux, c’est‐à‐dire de techniques fondées sur les mécanismes et interactions qui régissent les relations entre espèces dans le milieu naturel. Le biocontrôle repose sur la gestion des équilibres des populations d’agresseurs plutôt que sur leur éradication. Il est l’un des outils de la protection intégrée des cultures, associé et complémentaire à d’autres techniques, notamment génétiques, agronomiques, robotiques, mais aussi de traitements conventionnels.

Le biocontrôle constitue l’un des fondamentaux de l’agroécologie et l’un des axes du Plan Agriculture Innovation 2025. Les produits de biocontrôle sont définis par la loi comme des agents et produits utilisant des mécanismes naturels dans le cadre de la lutte intégrée contre les ennemis des cultures. Ils comprennent notamment les macro‐organismes du type acariens, insectes et nématodes et des produits phytopharmaceutiques, composés de micro‐organismes ou de substances naturelles d’origine végétale, animale ou minérale.

En 2016, le marché du biocontrôle s’élevait en France à 110 M€, soit près de 5 % du marché de la protection des plantes en France. Les membres d’IBMA France représentent 90 % de ce marché et leur activité a progressé de 25 % entre 2015 et 2016. L’objectif d’IBMA France est de tripler la part de marché des produits de biocontrôle pour atteindre d’ici 2025 le cap des 15 % du marché de la protection des plantes en France.

Le Président de la République, Emmanuel Macron a réaffirmé sa volonté de développer les solutions de biocontrôle le 11 octobre 2017 à Rungis, dans le cadre des États généraux de l’alimentation. Le ministre de l’Agriculture et de l’Alimentation, Stéphane Travert a également apporté son soutien à cette démarche lors du colloque « Biocontrôle, une nouvelle culture » organisé par IBMA France le 30 janvier dernier.

LA MEDE !

Symbole de tant de reniements



         

Les déclarations du Ministre de la transition écologique sur RMC et les communiqués publiés par le même ministère et par Total ont créé un profond malaise, un fort mécontentement et une vraie colère dans le monde agricole en particulier chez les producteurs de colza et de tournesol.

Alors que ces derniers fournissent pour la production de biocarburants « Made in France », une matière première locale, tracée, co-productrice de protéines pour nos élevages améliorant notre autonomie protéique de 22% à 52%, et respectueuse de l’environnement, ils se retrouvent désormais concurrencés sur leur propre territoire par des biocarburants produits à partir d’importation massive d’huile de palme et d’huiles usagées.

Cette décision est un véritable non-sens économique et écologique : elle prive les agriculteurs français d’un débouché durable, ayant permis durant plusieurs décennies de bâtir une filière des huiles et protéines végétales performante, assurant à la fois la vocation nourricière principale de l’agriculture (huiles alimentaires et protéines), et sa participation à la transition énergétique.

Le choix de l’huile de palme est un symbole, c’est le choix de la déforestation en Asie du Sud-Ouest. Choisir l’utilisation de déchets importés relève d’une incohérence totale entre ce choix politico-commercial et la volonté affichée d’une transition écologique durable et d’une lutte ardue contre le réchauffement climatique.

Combien faut-il de reniements pour juger une politique ? L’heure est donc à la mobilisation : l’ouverture de nos frontières aux prix bas, à des produits importés sans les mêmes contraintes que les nôtres, à des produits responsables de désastres écologiques, n’est pas une solution. C’est une erreur stratégique !

Les agriculteurs ont un autre projet, produire du colza et du tournesol français, produire de la qualité, produire des biocarburants, produire des protéines à travers les tourteaux, produire de l’avenir tout simplement !

La Mède, dans ces conditions, n’est pas une solution, c’est une faute !

Nouvel atelier de production


 

Roquette inaugure un nouvel atelier
de production dédié aux protéines de pois sur son site à Vic-sur-Aisne

Le Groupe élargit sa gamme de protéines de pois de spécialité à destination des marchés de l’Alimentation, de la Nutrition et de la Santé et confirme son leadership dans ce domaine.

Roquette, un leader mondial des ingrédients d’origine végétale à destination des marchés de l’Alimentation, de la Nutrition et de la Santé, annonce l’ouverture d’un nouvel atelier de production dédié aux protéines de pois de spécialité sur son site à Vic-sur-Aisne (Hauts-de-France). Cette extension s’inscrit dans le cadre du plan d’investissement de 40 millions d’euros annoncé en 2017, et dans la continuité d’un premier programme d’un montant équivalent investi depuis 2015.

Ce nouvel atelier, dont le marché bénéficiera des premières productions dès juin 2018, confirme la volonté de Roquette de faire de son site à Vic-sur-Aisne un véritable centre d’expertise dédié aux protéines de pois. Le Groupe va ainsi proposer une gamme d’ingrédients de spécialité toujours plus étendue à ses clients.

Le site, qui emploie aujourd’hui 130 personnes et collabore avec de nombreux partenaires locaux, représente déjà un centre majeur pour la production de protéines de pois. Il s’inscrit dans une démarche de développement d’une filière pois de qualité toujours plus respectueuse de l’environnement. Le Groupe Roquette est en effet un acteur engagé dans la mise en place d’une filière pois durable et responsable qui favorise l’adoption des meilleures pratiques agricoles et de technologies modernes.

Ce nouvel atelier va permettre au Groupe d’enrichir son offre en protéines végétales NUTRALYS® avec de nouveaux ingrédients conçus spécifiquement pour les produits alimentaires et boissons riches en protéines. Ces derniers répondent naturellement aux besoins spécifiques de la nutrition du sportif, du sénior ou dans le cadre d’un régime alimentaire.

Cette nouvelle installation capitalise sur les 40 années d’expertise de Roquette dans la recherche et la production de protéines végétales et conforte la position de pionnier du Groupe dans le secteur des protéines végétales de spécialités destinées aux marchés de l’Alimentation, de la Nutrition et de la Santé.

Le marché des protéines de pois est très attractif et sa forte croissance traduit la volonté des consommateurs de prendre soin de leur santé tout en préservant la planète. Pour satisfaire cette demande, Roquette bénéficiera d’ici 2020 de deux sites de production complémentaires en Europe (Vic-sur-Aisne, France) et en Amérique du Nord (Portage-La-Prairie, Canada) avec une capacité combinée de valorisation du pois de près de 250 000 tonnes par an.

Pascal Leroy, Vice-Président Filière Pois et Nouvelles Protéines de Roquette, déclare : « La création de ce nouvel atelier dédié aux protéines de pois de spécialité constitue une étape importante dans la mise en œuvre de la stratégie du Groupe Roquette dans les protéines végétales. En proposant de nouvelles solutions nutritionnelles et fonctionnelles durables à haute valeur ajoutée, nous confirmons notre leadership mondial sur le marché des protéines végétales de spécialité et notre volonté d’offrir des produits toujours plus adaptés aux enjeux des marchés de l’Alimentation, de la Nutrition et de la Santé. Nous nous réjouissons de ces développements majeurs en France et au Canada qui placent Roquette au premier plan pour servir ses clients avec des ingrédients d’origine végétale de haute qualité dans le monde entier. »