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Hebdo N°14 - Vendredi 12 avril 2019

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Actualités de la filière

Rubriques

changement climatique



La filière orges brassicoles planche
sur le climat

La filière orges/malt/bière a pris conscience du changement climatique. Les enjeux sont de taille : économie des exploitations, export, approvisionnement des usines (malteries, brasseries). Les 200 participants du 21ème colloque orges brassicoles organisé par Arvalis à Paris le 11 avril 2019 ont partagé des solutions et souligné la volonté de collaboration active entre les acteurs de la filière. Certains programmes de recherche s’attachent à comprendre le déterminisme de la qualité des protéines pour toujours mieux s’adapter aux débouchés.

Impacts du changement climatique sur les orges brassicoles

Le changement climatique a des effets sur la production d’orges. On enregistre une stagnation du rendement moyen national depuis 20 ans (66q/ha en 2017). Le « manque à gagner » est estimé à - 10 à – 15 q/ha en cumul sur toutes ces années. Les agronomes d’Arvalis estiment que le changement climatique est responsable pour moitié de cette tendance. De plus les aléas climatiques sont erratiques d’une année sur l’autre et les rendements très fluctuants. Une représentante du groupe d’assurance Groupama illustre ce phénomène en indiquant que depuis 2008 le montant des indemnités pour sinistres sur les orges s’élève à 120 millions d’euros pour son groupe, avec une forte variabilité interannuelle, dans un rapport de 1 à 10. Les impacts peuvent donc être importants à plusieurs titres : pour le revenu des agriculteurs, pour la balance commerciale française (la France est le deuxième exportateur mondial d’orges brassicoles avec environ 2 millions de tonnes par an), pour l’industrie de la malterie française (N°1 mondial pour la transformation et l’export) qui a tout intérêt à s’approvisionner localement. Mais la filière est proactive et anticipe afin de développer des solutions.

Des atouts et déjà des pistes d’adaptation

Contrairement à d’autres pays, la France produit aussi bien des orges d’hiver que des orges de printemps. Vis-à-vis du climat c’est un atout puisque les deux espèces ne sont pas exposées de la même manière ou au même moment aux éventuels excès climatiques. De plus, la recherche variétale en orges brassicoles française est réputée comme une des meilleures du monde et la gamme de précocité est large. Dans leur choix variétal, les producteurs ont ainsi les moyens de ne pas « mettre tous les oeufs dans le même panier ». Ils font parfois aussi évoluer leurs pratiques comme de décaler de date de semis pour éviter les stress, ou l’utilisation d’OAD pour piloter finement la fertilisation azotée.

Côté recherche, le comité recherche R&D de la filière a démarré ses travaux depuis 8 mois. Par exemple, le programme appelé PROSIT, financé dans le cadre du FSOV et associant tous les acteurs de la filière, cherche à trouver les clés du déterminisme de la qualité des protéines, critère important pour réussir à fabriquer de la bonne bière.

Ecophyto II+




Ecoutez les agriculteurs !

A l'occasion de la tenue du premier comité d'orientation stratégique et de suivi (COS) Ecophyto 2 + en présence de 6 ministres, mercredi 10 avril, la FNSEA a rappelé la mobilisation des agriculteurs dans la réduction des usages, risques et impacts des produits phytosanitaires et l'engagement de l'ensemble de la filière agricole au travers du Contrat des solutions pour la protection des plantes.
 
Comme l'ont souligné les ministres présents, des premiers résultats sont déjà visibles. En 2017, l'ensemble des substances actives ont baissé de 2% et les substances actives les plus problématiques de 16%.
 
Toutefois, la méthode du nouveau plan Ecophyto II+ proposée par le Gouvernement n'est pas adaptée. Les choix de hausse des charges sur les exploitations agricoles, d'interdictions franco-françaises de substances et produits phytosanitaires et de publication de données stigmatisantes sont contreproductifs.
 
Il est au contraire nécessaire de prendre en compte de la dimension économique dans le plan, avec une valorisation par le prix de nos produits répondant aux exigences françaises, d'accompagner financièrement nos exploitations et de réaliser des études d'impact complètes sur les alternatives. Nous demandons une recherche plus structurée, à l'écoute des difficultés des filières.
 
Et au-delà, il faut privilégier un renforcement du dialogue entre les agriculteurs et les riverains et un déploiement sans attendre des chartes de bon voisinage que nous avons proposées dans le cadre du Contrat de Solutions pour répondre concrètement aux interrogations de nos concitoyens.
 
Nous ne cessons de le répéter, la transition de l'agriculture vers des pratiques plus respectueuses ne se fera pas sans les agriculteurs, ni contre eux. Ecoutez les agriculteurs, les résultats n'en seront que meilleurs !

Lancement du projet R2D21



Cultiver des grandes cultures sans insecticides, est-ce possible ?

Lancement du projet R2D21 : des agriculteurs bourguignons innovent et expérimentent la  protection des cultures grâce à la régulation naturelle des insectes

Avec le lancement, le 11 février dernier, d’une consultation nationale, l’indépendance en  protéines végétales de la France et de l’Europe s’affirme comme un enjeu stratégique pour le Gouvernement. Alors  qu’elle est la première culture oléagineuse cultivée en France et qu’elle contribue à cette indépendance, le colza est en  danger dans certaines régions. En cause, notamment, les attaques de ravageurs d’automne devenus incontrôlables et  des moyens de lutte classiques qui ne sont plus efficaces. Face à cette impasse technique, 7 agriculteurs de l’Yonne  accompagnés par Terres Inovia et ses partenaires2 lancent le projet R2D2. L’objectif de ce projet de territoire conduit  en conditions réelles sur plus de 1 000 hectares est de concevoir, avec les agriculteurs, des solutions alternatives  s’appuyant sur la biodiversité et l’agroécologie pour protéger les cultures et réduire, voire supprimer, l’utilisation  d’insecticides.

S’appuyer sur la biodiversité pour protéger les cultures des ravageurs

Si certains insectes sont les ennemis de nos cultures, certains sont aussi de précieux alliés des agriculteurs. Les  insectes dits auxiliaires consomment ou parasitent les insectes ravageurs des cultures, permettant ainsi de réduire efficacement leurs populations. Avec le projet R2D2, l’objectif est de favoriser la présence et le développement de  ces insectes auxiliaires pour limiter les dégâts occasionnés par les ravageurs et permettre aux agriculteurs de retrouver des niveaux de production stables et satisfaisants. Pour garantir des ressources alimentaires suffisantes  à ces insectes et leur permettre de se développer et de coloniser le territoire, 15 hectares de bandes fleuries seront implantés de manière concertée en 2019. Le projet R2D2 vise aussi à réduire, voire supprimer, l’utilisation  d’insecticides pour protéger ces insectes régulateurs.

Cultiver l’agronomie pour des systèmes de cultures plus robustes

Pour accompagner le changement des pratiques agricoles et répondre aux attentes sociétales et environnementales,  il est essentiel de repenser globalement les systèmes de production pour disposer de cultures plus robustes. Ainsi,  le projet R2D2 accompagne les agriculteurs pour mettre en œuvre un ensemble de leviers agronomiques destinés à  améliorer la robustesse de leurs cultures et à réduire la nuisibilité des attaques d’insectes : diversification des  rotations, associations d’espèces, utilisation de variétés résistantes, dates des semis décalées… Cette initiative  menée sur les plateaux de Bourgogne vise à concevoir et à éprouver en conditions réelles des solutions qui pourront  à terme être généralisées à d’autres régions qui rencontrent les mêmes difficultés. Si les agriculteurs sont mobilisés,

ils sont aussi inquiets. Cette évolution ne se fait pas sans risques, des pertes de rendements sont susceptibles  d’intervenir lors de cette expérimentation. L’engagement de tous les acteurs, et notamment des pouvoirs publics,  est donc indispensable.

1. R2D2 : « Restauration de la régulation naturelle et amélioration de la robustesse des cultures sur les plateaux de Bourgogne pour réduire durablement la  dépendance aux insecticides ». Action pilotée par le ministère chargé de l’agriculture et le ministère chargé de l’environnement, avec l’appui financier de  l’Agence Française pour la Biodiversité, par les crédits issus de la redevance pour pollutions diffuses, attribués au financement du plan Ecophyto.

2. Arvalis-Institut du végétal, Soufflet Agriculture, Dijon Céréales, l’union des coopératives SeineYonne, la chambre d’agriculture de l’Yonne et l’INRA, la FOP,  l’entreprise semencière Nungesser Semences et le laboratoire d’éco-entomologie d’Orléans

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France Bière Challenge 2019

Concours



Les brasseurs récompensés
par 101 médailles

La 2ème édition du concours France Bière Challenge, organisée les 28 et 29 mars à Paris, a dévoilé hier les résultats de cette compétition nationale de bières, effectuée par un jury d’experts nationaux et internationaux.

Concours national des bières françaises, le France Bière Challenge vise à promouvoir la culture de la bière en France. Il est ouvert à tous les brasseurs, dont l’outil de production est localisé en France et qui brassent eux-mêmes leurs bières.

Il permet de valoriser ce marché en pleine expansion avec plus de 1600 brasseries implantées dans toutes les régions françaises et un nombre de marques et de styles de bières qui se multiplie. Les meilleures bières de chaque catégorie ont reçu une médaille d’or, d’argent et de bronze.
Cette diversité souligne le dynamisme et l’originalité du secteur dont fait partie Brasseurs de France, syndicat qui représente 98% de la production française de bière dont 96% de TPE-PME.

Brasseurs de France félicite les nombreuses brasseries récompensées dont ses 16 membres qui ont remporté 27 médailles.

Auvergne-Rhône-Alpes : 6 (Brasserie du Galibier, Brasseurs Savoyards, Brasserie de la Loire,
Brasserie du Mont Blanc, Brasserie Rivière d’Ain, Brasserie Terre de Bières)
Bourgogne-Franche-Comté : 1 (Brasserie La Rouget de Lisle)
Bretagne : 1 (Brasserie Britt)
Grand Est : 1 (Brasserie Meteor)
Hauts-de-France : 2 (Brasserie Castelain, Brasserie du Pays Flamand)
Ile-de-France : 1 (Ferme Brasserie du Vexin)
Normandie : 1 (Brasserie de Sutter)
Pays-de-la-Loire : 1 (Brasserie du Bouffay)
Nouvelle Aquitaine : 2 (Brasserie des Pyrénées, Brasserie Mira)

5 Médailles d’Or

  • Dans la catégorie bière, bière ambrée (plus de 6)
    Brasserie du Mont Blanc « La Rousse »
  • Dans la catégorie lager, pils
    Brasserie Meteor « Meteor Pills »
  • Dans la catégorie ale, bière forte blonde
    Brasserie Meteor « Wendelinus Blonde »
  • Dans la catégorie bières avec ajouts d’ingrédients, bières aux arômes
    Brasserie Meteor « Wendelinus Rossa »
  • Dans la catégorie bières de blé et autres céréales, bière de blé avec ajout d’ingrédients type blanche belge
    Brasserie Terre de Bières « Blanche »

11 Médailles d’Argent

  • Dans la catégorie ale, blonde française
    Brasserie Mira « BM Rimshot Blonde »
  • Dans la catégorie ale, double IPA
    Brasserie du Galibier « King Porridge »
  • Dans la catégorie ale, triple
    Brasserie du Bouffay « Triple du Bouffay »
  • Dans la catégorie bières avec ajouts d’ingrédients, bières au jus de raisin ou moût de raisin
    Brasserie Rouget de Lisle « BMSignature n°11 »
  • Dans la catégorie bières avec ajouts d’ingrédients, bières aux arômes
    Brasseurs Savoyards « Genepi »
  • Dans la catégorie bières avec ajout d’ingrédients, bières aux épices, café, chocolat
    Brasserie de la Loire « La Pampille »
  • Dans la catégorie bières avec ajout d’ingrédients, bière au miel
    Ferme brasserie du Vexin « La Véliocasse »
  • Dans la catégorie bières avec ajout d’ingrédients, bières aux fleurs et plantes, baies, racines
    Brasserie Meteor « Meteor Feuillue »
  • Dans la catégorie bière de blé et autres céréales, bière de blé avec ajout d’ingrédients type blanche belge
    Brasserie du Mont Blanc « La Blanche »
  • Dans la catégorie bières rustiques, bière de garde
    Brasseurs Savoyards « Ambrée »
    Brasserie Castelain « Ch’ti triple »

Natexpo




Le 1er rendez-vous international pour la filière bio, en France

Les 20-21-22 octobre prochains, les acheteurs et décideurs de la bio française et internationale se donnent rendez-vous au Parc des Expositions de Paris Nord Villepinte pour l'édition 2019 de NATEXPO.

A sept mois de l’ouverture, tous les chiffres indiquent que les acteurs internationaux seront présents en force au rendez-vous de référence de la filière.
Plus de 250 exposants attendus sur cette édition sont issus de l’international ; la surface occupée par l’international sur Natexpo 2019 est en hausse de +40% par rapport à la dernière édition parisienne.
16 pays sont d’ores et déjà représentés, et Natexpo accueille pour la première fois de nombreux pavillons internationaux.

NATEXPO 2019 : la bio au-delà des frontières

Rendez-vous incontournable du BtoB bio, NATEXPO offre l'opportunité de réaliser un véritable tour d'horizon des dernières tendances d'un marché bio en pleine croissance et de découvrir l'actualité des produits bio du monde entier dans tous les secteurs : alimentation, cosmétique et hygiène, diététique et compléments alimentaires, ingrédients et matières premières, produits et services pour la maison et la personne ou encore services et équipements pour les magasins.

Avec 1 000 exposants et plus de 15 000 visiteurs attendus, NATEXPO est l’événement bio incontournable de la rentrée 2019, pour les professionnels français comme pour les acteurs internationaux souhaitant développer leurs activités sur le marché français.

La bio connaît en effet un succès grandissant partout dans le monde et donne lieu à de nombreux échanges, notamment avec l'essor des produits alimentaires bio.
Depuis 2004, le marché alimentaire bio de l’Union européenne enregistre ainsi une croissance moyenne annuelle de +10,5% pour atteindre un poids de 36,5 milliards d’euros en 2017. (Source : Organic World 2018). Selon les derniers chiffres disponibles à l’international, la France se situait en 2016 à la 3e place des plus importants marchés bio internationaux. (Source : Organic World 2018 – chiffres 2016).

En France, les achats consommateurs ont doublé depuis 2012 - pour atteindre près de 8,4 milliards d'euros en 2017, avec une croissance de + 17%.
31 % des produits bio consommés en France étaient importés en 2017 versus 29 % des produits en 2016, soit + 2 points. Au stade de gros, la valeur des importations d’aliments biologiques a progressé de +27 % entre 2016 et 2017. (Chiffres Agence Bio)

Les entreprises françaises ont vendu pour 707 millions d'euros de produits bio à l'exportation en 2017 (+12% par rapport à 2016).
Les vins représentant 59% des exportations françaises de produits bio en valeur. D'autres secteurs se développent en 2017 comme l'épicerie sucrée et salée (+59M€) et la vente de cidre et de bière bio (+11M€). (Chiffres Agence Bio).

Une influence internationale grandissante

La réputation de NATEXPO gagne le monde entier. 16 pays d'Europe, d'Amérique du Nord, d'Amérique du Sud et d'Asie sont déjà représentés. Les professionnels auront ainsi l'opportunité de développer leurs affaires avec des entreprises allemandes, autrichiennes, belges, canadiennes, espagnoles, britanniques, grecques, indonésiennes, italiennes, luxembourgeoises, néerlandaises, péruviennes, portugaises, suisses, monégasques, taiwanaises, … Le salon accueillera d’ailleurs cette année la première participation d’exposants venus d’Indonésie.De plus, convaincus par l’attractivité et le dynamisme du marché français, 7 pays ont d’ores-et-déjà décidé d’installer leurs propres pavillons nationaux au sein du salon comme les Pays-Bas, le Pérou, le Canada, l’Autriche, la Belgique et l’Italie. Le pavillon Italien aura notamment une surface deux fois plus importante que sur l’édition précédente.

Au coeur du Salon, l'espace "Import / Export Office" permettra également aux professionnels de bénéficier de conseils d'experts sur les leviers à activer pour développer les échanges avec l'international : règlementations, packagings, certifications, attentes des marchés visés, …

Les Culturales®


18 000 visiteurs attendus pour l’événement grandes cultures de l’année

Pour la première fois dans l’Ouest, la 14ème édition des Culturales® se tient les 5 et 6 juin 2019 à Jaunay-Marigny dans la Vienne, à deux pas du Futuroscope. Des centaines de vitrines végétales, d’experts, d’exposants en font un rendez-vous de référence pour les filières de production des grandes cultures. Chaque jour, une dizaine de temps forts (conférences, forums, shows, concours de robot, job dating) permettront aux 18 000 visiteurs attendus de faire le plein d’informations pour produire des grains ou de la biomasse en conciliant performance économique, adaptation aux marchés (humains, animaux, non alimentaire) et environnement.

De belles variétés en bonne santé sur des sols fertiles et rentables

« De belles variétés en bonne santé sur des sols fertiles et rentables», la formule peut paraître triviale ce sont pourtant les fondamentaux que recherchent les producteurs pour produire de la qualité en quantité pour alimenter les marchés et répondre aux attentes des consommateurs. En permanence ils doivent s’adapter pour relever de multiples défis : croissance démographique, débouchés, changement climatique, opportunité de la bio-économie, environnement, rentabilité économique,…. Les Culturales® sont conçues pour leur fournir des informations utiles et valables pour faire évoluer leurs exploitations.

Présentées de façon très synthétique, les Culturales® c’est :

  • Explorer parmi 20 hectares de visite, 45 cultures différentes
  • Echanger au détour des 3 espaces techniques animés par 200 experts sur les innovations, la gestion des cultures, l’économie, la qualité et le numérique
  • Rencontrer 330 exposants (machinisme, agrofourniture et services) et de futurs employeurs au cours du Job Dating
  • Anticiper grâce à 3 shows sur la fertilité des sols, l’irrigation et les technologies du numérique
  • Partager des expériences avec des agriculteurs sur les thèmes de l’agriculture biologique, le travail du sol ou la protection intégrée
  • Découvrir les clés pour réussir en bio et des conférences sur l’intelligence artificielle, la prévision météo ou les relations microorganismes/sol/racines
  • Rêver avec le concours de robots

40 partenaires, 330 exposants, une dynamique active

Sur 20 hectares, plus de 45 cultures différentes se mettent en place dans des centaines de vitrines végétales animées par 150 experts issus des 40 organismes partenaires auxquels s’ajoutent 330 exposants. La remarquable dynamique des acteurs locaux, des collectivités et la complémentarité de tous les partenaires offrent une vitrine hors du commun.