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Vie des entreprises

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un modèle singulier

pour relever les défis



C’est lors de notre Assemblée Générale en date du 6 décembre que le groupe coopératif Vivadour a présenté le bilan de ses activités. 

Malgré une année de tous les extrêmes pour le groupe, Vivadour affiche un chiffre d’affaires de 596 millions d’euros, en augmentation, et dégage un résultat positif. Une belle performance financière au regard du contexte économique, climatique et social de l’exercice 2022/2023.
La diversité des activités et la solidarité des filières permettent ainsi à Vivadour d’absorber des moments difficiles, de continuer à soutenir ses adhérents et de déployer les projets du groupe dans le cadre de son plan Ambitions 2025.

Les semences, source de valeur ajoutée

Les semences potagères et grandes cultures restent une activité stratégique pour de nombreuses exploitations agricoles et pour Vivadour. C’est un métier clé à développer pour apporter de la valeur ajoutée à ses adhérents.
7 400 hectares sont ainsi contractualisés en semences grandes cultures avec des partenariats stratégiques tels que Corteva et Semences de France. La canicule et sécheresse de l’été 2022 ont impacté les productions de semences et ont pénalisé fortement les rendements et les objectifs de performance.
GSN Semences, notre filiale engagée dans la recherche, la multiplication et la commercialisation de semences potagères, pour le marché des légumes d’industrie en France et des hybrides à l’export, réalise un bon exercice avec un chiffre d’affaires en progression de 10%. Elle poursuit son développement sur ces marchés cibles notamment en Afrique de l’Ouest et dans les pays du Maghreb.

Une collecte impactée par la canicule

Le niveau de collecte 2022 est le plus faible enregistré au sein du groupe avec un peu plus de 300 000 tonnes en conventionnel et en bio, dû aux conditions caniculaires de l’été 2022. La forte progression des prix a permis de compenser partiellement la chute des rendements pour les agriculteurs.
Pour le groupe, cette collecte bouscule le modèle économique qui n’est pas adapté à ces très faibles volumes. Notre priorité sera de poursuivre notre politique de cultures contractuelles à valeur ajoutée, en sec ou en irrigué. Nous souhaitons aussi accompagner la transition agricole en développant de nouvelles cultures, à destination des industries biosourcées afin d‘apporter un complément de revenu significatif pour les exploitations du territoire.

Diversification des activités animales et consolidation de l’aval

En productions animales, notre territoire a subi un impact majeur avec les épisodes d’influenza aviaire à répétition. Nos potentiels de production ont été fortement dégradés en palmipèdes et volailles, entraînant des conséquences économiques lourdes pour les éleveurs. Mais nous pouvons nous appuyer sur nos marques ‘Poulet du Gers’ et ‘Canard du Gers’ et aussi sur la marque ‘Poulet d’ici’, fortement plébiscitée par le consommateur en cette période d’inflation des prix. Elles nous permettront de donner une nouvelle impulsion à notre amont.

Dans le cadre du plan stratégique Ambitions 2025, Vivadour a créé une filière apicole afin d’apporter un complément de revenu auprès de ses adhérents. Cette 1ère année aura été une réussite avec une collecte de plus 4 tonnes de miel pour 150 ruches sédentaires, installées auprès d’un réseau de 15 adhérents volontaires. C’est sous la marque ‘Miel du Gers et c’est tout’ que ce produit sera commercialisé en GMS par notre partenaire Gers Distribution, dès janvier 2024. 
La filière bovine est dotée d’un aval fort et maitrisée par Vivadour. Le groupe continue à consolider ses activités afin de récupérer le maximum de valeur ajoutée pour ses éleveurs. La société Jucla dans laquelle Vivadour est actionnaire continue son développement en boucherie traditionnelle et a démarré une nouvelle activité de découpe à Carbonne aux portes de Toulouse. Vignasse & Donney poursuit son développement en Aquitaine. 4 millions d’euros seront investis cette année pour agrandir et moderniser l’outil de production d’Artix.

Des projets créateurs de valeur en viticulture

Les aléas climatiques de l’exercice 2022/2023 ont fortement impacté le vignoble gersois. Le gel du printemps puis les nombreux épisodes de grêle ont entrainé une baisse de 35% du potentiel de production. Grâce au savoir-faire des équipes en matière d’assemblage et de vinification, la qualité est au rendez-vous. Les vins IGP Côté de Gascogne sont plébiscités et valorisés à leur juste prix.

Dans le cadre d’Ambitions 2025, deux projets créateurs de valeur à l’aval ont été initiés et sont aujourd’hui en cours de déploiement. 
Club des Marques, filiale de Vivadour, spécialisée dans le conditionnement et la commercialisation de vins et spiritueux en France et à l’étranger s’est fixé un objectif de tripler son chiffre d’affaires d’ici 3 ans. Modernisation de l’outil de conditionnement, embauche d’un directeur commercial, élargissement de la gamme de produits, la société s’appuiera sur l’ensemble des moyens pour y parvenir.

Enfin, alors que l’on constate une déconsommation avérée de vin, Vivadour s’engage sur le nouveau marché des vins No-Low au travers d’une alliance stratégique avec un pionnier de ce secteur : Moderato. 
C’est ainsi que Vivadour vient de créer une nouvelle filiale Le Chai Sobre, société de prestation de services spécialisée dans l’univers des vins désalcoolisés avec une équipe dédiée. Nous avons la volonté de faire du Chai Sobre le 1er centre d’excellence de la désalcoolisation en France.

Maintien d’un tissu agricole local avec les Gamm vert

Si les années post -covid ont été favorables aux commerces de jardinerie, plusieurs facteurs exogènes ont freiné le développement de l’activité durant l’exercice. Avec ses 16 magasins Gamm vert, Vivadour contribue au maintien et au développement d’un tissu agricole local auquel il est très attaché. Le groupe reste ouvert à l’extension de son réseau de magasins sur son territoire ou en périphérie.

La ressource en eau, un point capital pour Vivadour

Accompagner les mutations du secteur agricole et des exploitations en pérennisant le potentiel agricole suppose d’agir concrètement sur la ressource en eau. C’est en ce sens qu’a été déployée la phase 2 du plan Eaux Vives de Vivadour. Notre territoire subit fortement les effets liés au changement climatique. Le plan Eaux Vives réaffirme de façon pragmatique notre engagement dans la création et la gestion de la ressource en eau afin de préserver notre territoire, sa vitalité économique et la qualité de ses paysages. C’est un point capital pour Vivadour.

Site internet : https://www.vivadour.coop

aglorca

Une campagne historique



L’Assemblée Générale du Groupe LORCA a eu lieu ce mardi 5 décembre, au cinéma Kinépolis de Saint-Julien-lès-Metz en présence de 300 invités. Pour cette occasion Philippe DESSERTENNE, Directeur Général, et Christian SONDAG, Président du Groupe dressent le bilan de la campagne 2022-2023.

Comment qualifiez-vous les résultats de la campagne 2022-2023 ?

Philippe DESSERTENNE : Le chiffre d’affaires consolidé du Groupe, qui s’élève à 507 M€ peut être qualifié d’historique car c’est le plus élevé depuis la création de LORCA en 1970.

Christian SONDAG : L’augmentation la plus significative se situe au niveau du Pôle Agriculture. En effet, avec 403.6 M€ versus 311.7 M€ l’an dernier, cela s’explique principalement par des prix records au niveau des céréales et des intrants.

Que retenez-vous de cette campagne 2022-2023 ?

Christian SONDAG : Tout d’abord, nous avons enfin pu célébrer comme il se doit, en décembre 2022, les 50 ans de notre Groupe coopératif. Cela nous a permis de réunir la famille LORCA à savoir nos agriculteurs-adhérents et nos collaborateurs lors d’une soirée exceptionnelle. Et lorsque l’on compare avec le passé, je peux affirmer sans réserve que notre modèle coopératif et nos valeurs n’ont pas changé. Au cours des années, nous nous sommes construits sur les 4 piliers suivants : la solidarité, l’équité, la confiance et le respect mutuel des engagements. Notre coopérative a bien sûr grandi, elle a accompagné l’évolution de l’agriculture et celles des agriculteurs et elle a poursuivi ses diversifications. Si je dois faire un lien avec l’actualité, je dirais que notre solidité et la force de notre modèle ne sont plus à démontrer. Par exemple, alors que les années 70 ont été marquées par des crises économiques liées aux chocs pétroliers de 1973 et 1979, nous vivons depuis 2022 une crise énergétique liée en grande partie au conflit russoukrainien. De même, alors que la sécheresse du printemps 1976 a été la 2ème plus forte observée par Météo France, le mois de juillet 2022 s’est quant à lui hissé en 1ère position. Pourtant, face aux perturbations cycliques, qu’elles soient économiques ou climatiques, LORCA a constamment su s’adapter et faire preuve d’agilité !

Philippe DESSERTENNE : Au niveau de notre développement, notre Pôle Matériaux & Énergies a pris une nouvelle dimension suite au rachat de 2 enseignes TOUT FAIRE Matériaux à Faulquemont et à Sarreguemines et d’un GEDIMAT à Yutz. Avec la création de 2 points de vente supplémentaires à Rohrbach-lès-Bitche et à Sarralbe, nous sommes ainsi passés de 5 agences sur l’exercice précédent à 10 en 2022-2023.

Qu’en est-il de votre politique d’investissement ?

Christian SONDAG : Nous avons toujours eu la volonté de poursuivre nos investissements. Lors de la campagne 20222023, ce budget s’est élevé à 7.3 millions d’euros, hors acquisitions, ce qui est dans la moyenne de nos exercices précédents.

Philippe DESSERTENNE : Nous avons toutefois adapté une partie de nos investissements en réalisant notamment 19 chantiers de passage en éclairage LED et nous avons également favorisé l’isolation de nos bâtiments. Sur l’exercice 2023-2024, notre « enveloppe investissement » sera même un peu supérieure du fait de l’aboutissement de nombreux projets ayant pris davantage de temps sur le plan administratif. Nous allons aussi poursuivre la modernisation de nos outils de collecte, avec par exemple l’automatisation du silo de Delme, et terminer l’important chantier de rénovation de la toiture de nos silos du Port de Metz qui avait débuté en 2015. Nous installerons également des panneaux solaires sur certains sites dès 2024.

Que pouvez-vous déjà nous dire sur l’exercice 2023-2024 ?

Philippe DESSERTENNE : Début 2024 sera marqué par l’écriture d’un nouveau plan stratégique qui permettra de dessiner les prochaines orientations de notre Groupe. LORCA est une entreprise qui sait évoluer et grandir tout en restant proche du monde rural. Nos projets s’axeront donc dans ce sens.

Christian SONDAG : Nous lancerons également la 3ème session d’Atouts Jeunes. Il s’agit d’une formation se déroulant sur une année et qui a pour but de donner à la nouvelle génération des pistes de réflexion pour mieux aborder l’avenir. Ce type de programme est primordial pour répondre aux attentes des agriculteurs et moderniser sans cesse notre modèle. LORCA sera demain ce que les jeunes voudront en faire. Il est donc essentiel de leur faire dès aujourd’hui une place et de les intégrer dans nos décisions.

Site internet : https://www.lorca.fr

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Force et stabilité

pour Nord Céréales



Sur la campagne 2022/2023, Nord Céréales a réalisé un chiffre d’affaires de 14,9 millions d’euros, soit une augmentation de 35% en un an, pour 2,2 millions de tonnes de céréales exportées.

« Nous avons réussi à exporter 2,2 millions de tonnes malgré le contexte déstabilisant du conflit Russie-Ukraine sur cette campagne », déclare Laurent Bué, président de Nord Céréales à l’occasion de son assemblée générale, « la qualité de nos blés pour la récolte 2022 était au rendez-vous avec des rendements moyens de 95 quintaux /hectares dans notre hinterland » ajoute -t-il.

Nord Céréales a en effet bien stabilisé ses marchés grand export comme la Chine, l’Égypte et le Maroc. Pour satisfaire ces demandes, Nord Céréales est monté en gamme, attirant aussi de nouveaux marchés, tel que le Pakistan, tout en fidélisant ses clients existants. Le chiffre d’affaires de Nord Céréales est donc passé à 14,9 millions d’euros en 2023 contre 11 millions d’euros en 2022 soit une augmentation de plus de 35% en un an ! Nord Céréales devient le 2ème silo portuaire de France sur la moyenne des 4 dernières années. 

Sur la prochaine campagne, avec 550 000 tonnes exportées à fin novembre 2023, Nord Céréales reste prudent car les sorties sur le 2ème semestre 2023 sont en recul. Depuis le début de cette campagne, la concurrence est forte avec les pays de l’est. Même si la récolte française n’est pas l’un des meilleurs crus, il reste toutefois possible que l’export pays tiers conduise à un résultat global satisfaisant du fait d’une demande moindre de l’Union européenne et de la France. « Malgré le début de campagne difficile, gardons comme prochain objectif 2 millions de tonnes de céréales exportées sur l’exercice en cours, nous devrions avoir un premier semestre 2024 plus dynamique d’ailleurs il le faut pour ne pas avoir des silos remplis au 30 juin 2024.» annonce Joel Ratel, directeur de Nord Céréales, « pour 2024/2025, nous souhaitons augmenter notre volume d’exportation  tout en développant de nouveaux débouchés, grâce à notre nouveau silo 9, garantissant ainsi la croissance continue de l'entreprise.» La dernière phase de ses travaux qui seront achevés en octobre 2024, est en cours. Le nouveau portique de chargement et le hall de chargement de trains ont déjà été livrés. La construction du silo 9, composé de 8 cellules de 30 000 tonnes au total, confirmera la capacité de stockage de 330 000 tonnes.

Le port de Dunkerque est en plein essor, Nord Céréales et ses filiales sont dans la même dynamique. La diversification a commencé en 2018 avec l’import de maïs et de pellets de bois. Elle s'inscrit dans ce contexte d'un tissu industriel en constante évolution dans les Hauts de France. Nord Céréales se positionne au cœur de cette activité croissante pour répondre aux nouvelles demandes entrantes. Cette diversification vise aussi à sécuriser les activités de ce silo portuaire en réduisant sa dépendance à l’export dans les années qui peuvent être plus difficiles. Avec 230 000 tonnes importées par an, l'objectif de diversification fixé il y a 5 ans a été atteint. Cap sur 2027 avec le prochain défi de Nord Céréales : la mise en fonctionnement du Canal Seine Nord intégrée dans ses activités.

Site internet : https://nordcereales.fr/

Innovation



Le Crecerpal célèbre un demi-siècle d'innovation au cœur de la filière blé dur en France

Le Centre de Recherche sur les Céréales et les Pâtes Alimentaires (CRECERPAL), laboratoire de recherche de la Société PANZANI, marque un jalon significatif en célébrant ses 50 ans d'existence.

Panzani, semoulier-pastier français, a été précurseur en créant dès 1973 son propre centre de recherche dédié au blé dur et à ses applications, afin de maitriser la qualité de sa matière première et sa transformation pour proposer les meilleures pâtes aux consommateurs.

La France, l'un des principaux producteurs mondiaux de blé dur, représente 5% de la production mondiale, avec 1,3 million de tonnes produites chaque année. PANZANI, acteur majeur dans cette filière, achète un tiers de la production française, soit 470 000 tonnes par an, et travaille main dans la main avec ses partenaires pour préserver cette culture fragile.

Jean-François Mas, Directeur du CRECERPAL : « Nous sommes honorés de célébrer ce demi-siècle d'impact positif sur la filière. Depuis sa fondation en 1973, le CRECERPAL a joué un rôle clé dans l'évolution constante de la qualité du blé dur et des pâtes alimentaires en France. Nos recherches contribuent non seulement à la qualité des produits finis mais contribuent également à l'innovation constante au sein de la filière et de l'industrie ».

Depuis ses débuts, le CRECERPAL s'est distingué comme un acteur clé dans la recherche appliquée à la filière blé dur. Ses 50 années d'expertise, de passion et d'innovation ont contribué de manière significative à l'évolution de la production de blé dur en France. Le CRECERPAL a été à l'avant-garde de la recherche variétale, de l'analyse approfondie des produits, et de l'innovation constante dans le secteur.

Aujourd’hui cet outil de recherche est au service d’une filière française de blé dur de haute qualité et alimente l’entreprise en innovation. L’équipe, composée de 15 experts, est organisée autour de 3 pôles :

  • Le Pôle filière, qui réalise la sélection des variétés de blé dur pour obtenir la meilleure qualité ; et anime en collaboration avec ses partenaires le programme « Blé Responsable Français » qui vise à sécuriser l’avenir de la filière et à l’accompagner vers des pratiques agricoles durables. Panzani utilise 100% de blé dur français pour la fabrication de ses pâtes en France, et déjà 45% sont issus de ce programme d’agriculture durable, avec une vision ambitieuse d'atteindre 100% d'ici 2026 soit 3 000 agriculteurs engagés dans la démarche.
  • Le Pôle analyse (plus de 8 500 analyses par an) qui expertise toutes les étapes du choix des variétés, la qualification des campagnes et les produits de première transformation (la semoule de blé dur) et de deuxième transformation (pâtes et couscous). Le CRECERPAL a développé des tests innovants pour évaluer la qualité du blé et des pâtes, comme le « test de ténacité » et « la couleur sur pâton », permettant de proposer des produits qui répondent aux attentes des consommateurs notamment en matière de tenue à la cuisson, d’aspect et de goût. Cette expertise positionne Panzani comme référent auprès de tous les maillons de la filière et marque de pâtes préférée des Français avec 30% de part de marché.
  • Le Pôle innovation, qui développe de nouveaux produits et appuie les sites de production sur l’optimisation des procédés de fabrication. Un laboratoire pilote reproduit en miniature ce qui se réalise dans le milieu industriel, moyen de tester techniquement les projets d’innovation ou de venir en soutien aux usines sur des process existants.

Le CRECERPAL, fort de 50 ans d’expertise, permet à Panzani de maitriser la qualité du champ à l’assiette, pour offrir à tous une alimentation responsable qui nourrit autant qu’elle réjouit.

Cécile Renault, Directrice R&D, Qualité & RSE du Groupe PANZANI, souligne l'importance du CRECERPAL : « Le CRECERPAL, c'est bien plus qu'un laboratoire de recherche. C'est le cœur battant de notre quête constante de qualité dans la filière blé dur et ses applications. Avec l’ensemble des acteurs de la filière, nous construisons le modèle de demain, avec une filière blé dur responsable et des pâtes toujours meilleures en termes de goût et de nutrition, pour accompagner nos consommateurs vers une assiette durable. Cet engagement est clairement inscrit au sein de notre stratégie de responsabilité d’entreprise et cela ne serait pas possible sans un centre d’expertise unique en son genre comme le CRECERPAL. Alors que le centre de recherche célèbre ses 50 ans, l'avenir s'annonce prometteur avec de nouveaux projets en matière d’innovation et de durabilité. »

Site internet : https://www.groupe-panzani.fr